Le syndicalisme en France depuis 1945
4e édition
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- Nombre de pages125
- PrésentationBroché
- Poids0.13 kg
- Dimensions12,2 cm × 19,2 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-7071-7551-9
- EAN9782707175519
- Date de parution07/02/2013
- CollectionRepères Sciences po - Droit
- ÉditeurLa Découverte
Résumé
Une histoire du syndicalisme depuis la Libération, à l'heure de toutes incertitudes, où, divisé et menacé par une certaine institutionnalisation, le mouvement syndical ne parvient pas à contrecarrer les conséquences de la mondialisation libérale. Une synthèse de référence. Tout en accomplissant leurs activités propres (grèves, négociations, élections professionnelles), les organisations de salariés participent à la vie de la société française, en raison du poids démographique et de l'importance économique de celles et ceux qu'ils représentent.
A la Libération, les syndicats contribuent de manière décisive à de grandes réformes. La guerre froide brise l'élan. Le réveil revendicatif survient à la fin de la guerre d'Algérie. De 1966 à 1976, la puissance syndicale est attestée. L'épuisement du keynésiano-fordisme, le délitement des grands récits devient perceptible lorsqu'un socialiste accède pour la première fois à la présidence de la Ve République.
Divisé, menacé par une certaine institutionnalisation, le mouvement syndical ne parvient pas à contrecarrer les conséquences de la mondialisation libérale. Le début du XXIe siècle s'écrit sur le registre d'une combativité contrecarrée. Après le quinquennat contre-réformateur de Nicolas Sarkozy, le syndicalisme français est confronté à une crise systémique qui défie tout autant la mandature de François Hollande.
A la Libération, les syndicats contribuent de manière décisive à de grandes réformes. La guerre froide brise l'élan. Le réveil revendicatif survient à la fin de la guerre d'Algérie. De 1966 à 1976, la puissance syndicale est attestée. L'épuisement du keynésiano-fordisme, le délitement des grands récits devient perceptible lorsqu'un socialiste accède pour la première fois à la présidence de la Ve République.
Divisé, menacé par une certaine institutionnalisation, le mouvement syndical ne parvient pas à contrecarrer les conséquences de la mondialisation libérale. Le début du XXIe siècle s'écrit sur le registre d'une combativité contrecarrée. Après le quinquennat contre-réformateur de Nicolas Sarkozy, le syndicalisme français est confronté à une crise systémique qui défie tout autant la mandature de François Hollande.
Une histoire du syndicalisme depuis la Libération, à l'heure de toutes incertitudes, où, divisé et menacé par une certaine institutionnalisation, le mouvement syndical ne parvient pas à contrecarrer les conséquences de la mondialisation libérale. Une synthèse de référence. Tout en accomplissant leurs activités propres (grèves, négociations, élections professionnelles), les organisations de salariés participent à la vie de la société française, en raison du poids démographique et de l'importance économique de celles et ceux qu'ils représentent.
A la Libération, les syndicats contribuent de manière décisive à de grandes réformes. La guerre froide brise l'élan. Le réveil revendicatif survient à la fin de la guerre d'Algérie. De 1966 à 1976, la puissance syndicale est attestée. L'épuisement du keynésiano-fordisme, le délitement des grands récits devient perceptible lorsqu'un socialiste accède pour la première fois à la présidence de la Ve République.
Divisé, menacé par une certaine institutionnalisation, le mouvement syndical ne parvient pas à contrecarrer les conséquences de la mondialisation libérale. Le début du XXIe siècle s'écrit sur le registre d'une combativité contrecarrée. Après le quinquennat contre-réformateur de Nicolas Sarkozy, le syndicalisme français est confronté à une crise systémique qui défie tout autant la mandature de François Hollande.
A la Libération, les syndicats contribuent de manière décisive à de grandes réformes. La guerre froide brise l'élan. Le réveil revendicatif survient à la fin de la guerre d'Algérie. De 1966 à 1976, la puissance syndicale est attestée. L'épuisement du keynésiano-fordisme, le délitement des grands récits devient perceptible lorsqu'un socialiste accède pour la première fois à la présidence de la Ve République.
Divisé, menacé par une certaine institutionnalisation, le mouvement syndical ne parvient pas à contrecarrer les conséquences de la mondialisation libérale. Le début du XXIe siècle s'écrit sur le registre d'une combativité contrecarrée. Après le quinquennat contre-réformateur de Nicolas Sarkozy, le syndicalisme français est confronté à une crise systémique qui défie tout autant la mandature de François Hollande.