Working rich. Salaires, bonus et appropriation du profit dans l'industrie financière
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- Nombre de pages306
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.32 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-7071-4834-6
- EAN9782707148346
- Date de parution26/04/2007
- CollectionTextes à l'appui
- ÉditeurLa Découverte
Résumé
Outre une analyse de l'industrie financière, ce livre ambitieux décrypte les nouveaux rapports salariaux et les nouvelles figures de l'exploitation d'une économie en voie de dématérialisation. Un, cinq, dix millions d'euros. Les salaires dans l'industrie financière défient la mesure. Régulièrement, les journalistes braquent leurs projecteurs sur ce phénomène étrange et fascinant, en s'attardant sur les éléments les plus sensationnels : magnums de champagne, voitures de sport, investissements immobiliers.
Ainsi dépeinte, cette richesse insolente demeure un fait inexpliqué. Olivier Godechot propose au lecteur d'entrer dans les coulisses de la finance. Ce secteur est le meilleur laboratoire pour répondre à la question posée par l'irruption des working rich : comment des salaires permettent-ils d'accéder à la richesse ? Derrière leur apparence abstraite de prix de marché, les salaires sont aussi le résultat d'un partage : partage du profit entre les actionnaires et les salariés, et plus encore, en finance, partage de la masse salariale entre les salariés par des salariés.
L'auteur montre ainsi que les travailleurs de la finance se reconnaissent des quasi-droits de propriété sur des actifs de l'entreprise (portefeuilles, clients, etc.). Et lorsque leurs droits sur une part substantielle du profit ne sont pas reconnus, ils sont en mesure de faire défection, avec l'ensemble des biens accumulés lors de leur parcours. Au-delà de son analyse de l'industrie financière, ce livre ambitieux invite à décrypter les nouveaux rapports salariaux et les nouvelles figures de l'exploitation dans une économie en voie de dématérialisation.
Il éclaire de manière inédite les transformations du salariat et pose les questions politiques de notre temps.
Ainsi dépeinte, cette richesse insolente demeure un fait inexpliqué. Olivier Godechot propose au lecteur d'entrer dans les coulisses de la finance. Ce secteur est le meilleur laboratoire pour répondre à la question posée par l'irruption des working rich : comment des salaires permettent-ils d'accéder à la richesse ? Derrière leur apparence abstraite de prix de marché, les salaires sont aussi le résultat d'un partage : partage du profit entre les actionnaires et les salariés, et plus encore, en finance, partage de la masse salariale entre les salariés par des salariés.
L'auteur montre ainsi que les travailleurs de la finance se reconnaissent des quasi-droits de propriété sur des actifs de l'entreprise (portefeuilles, clients, etc.). Et lorsque leurs droits sur une part substantielle du profit ne sont pas reconnus, ils sont en mesure de faire défection, avec l'ensemble des biens accumulés lors de leur parcours. Au-delà de son analyse de l'industrie financière, ce livre ambitieux invite à décrypter les nouveaux rapports salariaux et les nouvelles figures de l'exploitation dans une économie en voie de dématérialisation.
Il éclaire de manière inédite les transformations du salariat et pose les questions politiques de notre temps.
Outre une analyse de l'industrie financière, ce livre ambitieux décrypte les nouveaux rapports salariaux et les nouvelles figures de l'exploitation d'une économie en voie de dématérialisation. Un, cinq, dix millions d'euros. Les salaires dans l'industrie financière défient la mesure. Régulièrement, les journalistes braquent leurs projecteurs sur ce phénomène étrange et fascinant, en s'attardant sur les éléments les plus sensationnels : magnums de champagne, voitures de sport, investissements immobiliers.
Ainsi dépeinte, cette richesse insolente demeure un fait inexpliqué. Olivier Godechot propose au lecteur d'entrer dans les coulisses de la finance. Ce secteur est le meilleur laboratoire pour répondre à la question posée par l'irruption des working rich : comment des salaires permettent-ils d'accéder à la richesse ? Derrière leur apparence abstraite de prix de marché, les salaires sont aussi le résultat d'un partage : partage du profit entre les actionnaires et les salariés, et plus encore, en finance, partage de la masse salariale entre les salariés par des salariés.
L'auteur montre ainsi que les travailleurs de la finance se reconnaissent des quasi-droits de propriété sur des actifs de l'entreprise (portefeuilles, clients, etc.). Et lorsque leurs droits sur une part substantielle du profit ne sont pas reconnus, ils sont en mesure de faire défection, avec l'ensemble des biens accumulés lors de leur parcours. Au-delà de son analyse de l'industrie financière, ce livre ambitieux invite à décrypter les nouveaux rapports salariaux et les nouvelles figures de l'exploitation dans une économie en voie de dématérialisation.
Il éclaire de manière inédite les transformations du salariat et pose les questions politiques de notre temps.
Ainsi dépeinte, cette richesse insolente demeure un fait inexpliqué. Olivier Godechot propose au lecteur d'entrer dans les coulisses de la finance. Ce secteur est le meilleur laboratoire pour répondre à la question posée par l'irruption des working rich : comment des salaires permettent-ils d'accéder à la richesse ? Derrière leur apparence abstraite de prix de marché, les salaires sont aussi le résultat d'un partage : partage du profit entre les actionnaires et les salariés, et plus encore, en finance, partage de la masse salariale entre les salariés par des salariés.
L'auteur montre ainsi que les travailleurs de la finance se reconnaissent des quasi-droits de propriété sur des actifs de l'entreprise (portefeuilles, clients, etc.). Et lorsque leurs droits sur une part substantielle du profit ne sont pas reconnus, ils sont en mesure de faire défection, avec l'ensemble des biens accumulés lors de leur parcours. Au-delà de son analyse de l'industrie financière, ce livre ambitieux invite à décrypter les nouveaux rapports salariaux et les nouvelles figures de l'exploitation dans une économie en voie de dématérialisation.
Il éclaire de manière inédite les transformations du salariat et pose les questions politiques de notre temps.




