L'art en conflits. L'oeuvre de l'esprit entre droit et sociologie

Par : Nathalie Heinich, Bernard Edelman
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages274
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.335 kg
  • Dimensions13,5 cm × 22,0 cm × 2,4 cm
  • ISBN2-7071-3516-X
  • EAN9782707135162
  • Date de parution10/10/2002
  • CollectionArmillaire
  • ÉditeurLa Découverte

Résumé

Les organisateurs d'expositions sont-ils des auteurs ? A quelles conditions le vandalisme peut-il devenir une performance d'art contemporain ? Comment les oeuvres d'art illustrent-elles les déplacements entre singularité et universalité ? L'oeuvre d'art peut-elle être considérée comme une information ou une opinion ? Qu'est ce que l'authenticité, et est-il vraiment nécessaire qu'un tableau ait été exécuté par son signataire ? Faut-il voir dans l'émission télévisée Loft Story une régression de la civilisation ou un progrès de l'authenticité ? Y a-t-il plus ou moins de censure en art aujourd'hui, et quels en sont les enjeux pour la démocratie ? A ces questions sont données ici deux catégories de réponses - juridiques et sociologiques - en même temps qu'une réflexion commune sur leurs convergences et leurs différences.
Car ce livre relève d'un genre inédit : à la fois recueil d'articles, dialogue entre deux chercheurs et comparaison entre deux regards différents - celui du droit, celui de la sociologie - sur un même objet : l'art, et plus précisément le statut d'auteur et d'oeuvre de l'esprit. Au-delà de ce qui distingue la démarche du juriste et du sociologue (par exemple la temporalité, le rapport à la norme, l'interactivité avec les acteurs), on voit ainsi s'élaborer, à partir de cas précis, une réflexion concrète sur quelques fondements anthropologiques du rapport à l'art dans notre société - dont émerge en particulier, toujours présente, la notion de personne.
Les organisateurs d'expositions sont-ils des auteurs ? A quelles conditions le vandalisme peut-il devenir une performance d'art contemporain ? Comment les oeuvres d'art illustrent-elles les déplacements entre singularité et universalité ? L'oeuvre d'art peut-elle être considérée comme une information ou une opinion ? Qu'est ce que l'authenticité, et est-il vraiment nécessaire qu'un tableau ait été exécuté par son signataire ? Faut-il voir dans l'émission télévisée Loft Story une régression de la civilisation ou un progrès de l'authenticité ? Y a-t-il plus ou moins de censure en art aujourd'hui, et quels en sont les enjeux pour la démocratie ? A ces questions sont données ici deux catégories de réponses - juridiques et sociologiques - en même temps qu'une réflexion commune sur leurs convergences et leurs différences.
Car ce livre relève d'un genre inédit : à la fois recueil d'articles, dialogue entre deux chercheurs et comparaison entre deux regards différents - celui du droit, celui de la sociologie - sur un même objet : l'art, et plus précisément le statut d'auteur et d'oeuvre de l'esprit. Au-delà de ce qui distingue la démarche du juriste et du sociologue (par exemple la temporalité, le rapport à la norme, l'interactivité avec les acteurs), on voit ainsi s'élaborer, à partir de cas précis, une réflexion concrète sur quelques fondements anthropologiques du rapport à l'art dans notre société - dont émerge en particulier, toujours présente, la notion de personne.
Etre écrivain
9,50 €