"Criez, et qu'on crie !". Neuf notes sur le cri d'indignation et de dissentiment
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- Nombre de pages112
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.17 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-87317-541-2
- EAN9782873175412
- Date de parution10/01/2020
- CollectionEssais
- ÉditeurLa lettre volée
Résumé
"Criez, et qu'on crie ! " Les cris d'indignation, de protestation, de revendication ont des significations politiques. Ils ne relèvent aucunement d'états d'âme. Un cri n'est pas un stade éphémère dans la voie d'une dissolution. Les cris évaluent des partages sociaux, interrogent des rapports de forces, des normes politiques violemment incarnées, des désinvoltures écologiques, des genres fermés sur eux-mêmes, le patriarcat, le racisme et autres phobies sociales.
L'auteur soutient ici qu'ils doivent être compris comme des paroles de contre-violence, instaurant un écart par rapport à une situation réputée consensuelle. Chacune de ses neuf notes, explorant les différents régimes de réception du cri de Sartre jusqu'à Rancière, fonctionne comme un exercice de déprise de l'interprétation qu'imposent ceux qui ne veulent pas les entendre, alors qu'ils sont indispensables à la vitalité politique démocratique, tissée d'indignations, de protestations, de revendications.
L'auteur soutient ici qu'ils doivent être compris comme des paroles de contre-violence, instaurant un écart par rapport à une situation réputée consensuelle. Chacune de ses neuf notes, explorant les différents régimes de réception du cri de Sartre jusqu'à Rancière, fonctionne comme un exercice de déprise de l'interprétation qu'imposent ceux qui ne veulent pas les entendre, alors qu'ils sont indispensables à la vitalité politique démocratique, tissée d'indignations, de protestations, de revendications.
"Criez, et qu'on crie ! " Les cris d'indignation, de protestation, de revendication ont des significations politiques. Ils ne relèvent aucunement d'états d'âme. Un cri n'est pas un stade éphémère dans la voie d'une dissolution. Les cris évaluent des partages sociaux, interrogent des rapports de forces, des normes politiques violemment incarnées, des désinvoltures écologiques, des genres fermés sur eux-mêmes, le patriarcat, le racisme et autres phobies sociales.
L'auteur soutient ici qu'ils doivent être compris comme des paroles de contre-violence, instaurant un écart par rapport à une situation réputée consensuelle. Chacune de ses neuf notes, explorant les différents régimes de réception du cri de Sartre jusqu'à Rancière, fonctionne comme un exercice de déprise de l'interprétation qu'imposent ceux qui ne veulent pas les entendre, alors qu'ils sont indispensables à la vitalité politique démocratique, tissée d'indignations, de protestations, de revendications.
L'auteur soutient ici qu'ils doivent être compris comme des paroles de contre-violence, instaurant un écart par rapport à une situation réputée consensuelle. Chacune de ses neuf notes, explorant les différents régimes de réception du cri de Sartre jusqu'à Rancière, fonctionne comme un exercice de déprise de l'interprétation qu'imposent ceux qui ne veulent pas les entendre, alors qu'ils sont indispensables à la vitalité politique démocratique, tissée d'indignations, de protestations, de revendications.