Courbet, l'homme blessé. Indiscrétions d'atelier

Par : Gérard Jaeger

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages151
  • PrésentationBroché
  • Poids0.14 kg
  • Dimensions11,5 cm × 17,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-35116-017-7
  • EAN9782351160176
  • Date de parution01/11/2006
  • CollectionVies choisies
  • ÉditeurPunctum

Résumé

L'œuvre et la vie du " maître du réalisme " sont une succession de combats et de ruptures, de luttes pour se faire connaître, et reconnaître. Sa peinture est l'œuvre d'un impatient, victime de ses regrets, sans cesse aux prises avec une seule crainte, un unique projet : ne pas décevoir et donner toute la mesure d'un talent dont il avait conscience du privilège et du poids. Mais si le prix de sa peinture instinctive était de souffrir, une seule chose est sûre au regard de l'histoire : c'est qu'il a payé le prix de son engagement esthétique et social.
Jusqu'à l'exil politique qui marqua la fin de sa vie. Avec cette biographie intimiste, toute en nuances, après Rodin et les femmes, Gérard A. Jaeger donne la suite des " indiscrétions d'atelier " qu'il consacre à l'histoire de l'art et aux aléas de la création.
L'œuvre et la vie du " maître du réalisme " sont une succession de combats et de ruptures, de luttes pour se faire connaître, et reconnaître. Sa peinture est l'œuvre d'un impatient, victime de ses regrets, sans cesse aux prises avec une seule crainte, un unique projet : ne pas décevoir et donner toute la mesure d'un talent dont il avait conscience du privilège et du poids. Mais si le prix de sa peinture instinctive était de souffrir, une seule chose est sûre au regard de l'histoire : c'est qu'il a payé le prix de son engagement esthétique et social.
Jusqu'à l'exil politique qui marqua la fin de sa vie. Avec cette biographie intimiste, toute en nuances, après Rodin et les femmes, Gérard A. Jaeger donne la suite des " indiscrétions d'atelier " qu'il consacre à l'histoire de l'art et aux aléas de la création.