Costume et société dans l'Antiquité et le haut Moyen Age

Par : François Chausson, Hervé Inglebert, Collectif

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  • Nombre de pages168
  • PrésentationBroché
  • Poids0.355 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-7084-0710-4
  • EAN9782708407107
  • Date de parution23/12/2003
  • CollectionTextes, Images et Monuments
  • ÉditeurPicard

Résumé

Les vêtements et les costumes font partie des marqueurs sociaux les plus immédiatement signifiants. Certes, l'habit ne fait pas le moine, mais dans les sociétés antiques et médiévales, il était souvent déterminant. Afin de pouvoir rassembler les indices d'un passé lointain et d'analyser par l'étude des costumes réels, imaginés et représentés, les catégories de statut et de rôle essentielles pour la compréhension des sociétés, l'étude de la fonction sociale du costume doit être abordée de diverses manières. La première correspond au costume réel, celui que portent les personnes qui renvoie à leur place dans la société, et sue l'on peut aborder selon trois approches. D'abord, l'archéologie permet d'analyser les rares tissus qui on traversés les siècles. C'est le cas pour les Costumes aristocratiques et populaires à l'époque des grandes migrations en Europe centrale et pour Le costume dans l'Antiquité tardive d'après les vestiges textiles coptes. Ensuite, lorsque les données archéologiques font défaut, les historiens peuvent s'appuyer sur les représentations figurées. On peut ainsi comprendre Le costume mycénien et l'importance de sa teinture par le safran à partir des fresques, réfléchir sur la signification du vêtement grec à l'époque classique à partir des figurines en terre cuite, ou sur Les Grecs, leur vêtement, les image à partir de peintures sur vases. Enfin, les textes fournissent des indications précieuses sur les realia, par exemple sur la fonction de La toga candida et les élections dans la Rome républicaine.
Les vêtements et les costumes font partie des marqueurs sociaux les plus immédiatement signifiants. Certes, l'habit ne fait pas le moine, mais dans les sociétés antiques et médiévales, il était souvent déterminant. Afin de pouvoir rassembler les indices d'un passé lointain et d'analyser par l'étude des costumes réels, imaginés et représentés, les catégories de statut et de rôle essentielles pour la compréhension des sociétés, l'étude de la fonction sociale du costume doit être abordée de diverses manières. La première correspond au costume réel, celui que portent les personnes qui renvoie à leur place dans la société, et sue l'on peut aborder selon trois approches. D'abord, l'archéologie permet d'analyser les rares tissus qui on traversés les siècles. C'est le cas pour les Costumes aristocratiques et populaires à l'époque des grandes migrations en Europe centrale et pour Le costume dans l'Antiquité tardive d'après les vestiges textiles coptes. Ensuite, lorsque les données archéologiques font défaut, les historiens peuvent s'appuyer sur les représentations figurées. On peut ainsi comprendre Le costume mycénien et l'importance de sa teinture par le safran à partir des fresques, réfléchir sur la signification du vêtement grec à l'époque classique à partir des figurines en terre cuite, ou sur Les Grecs, leur vêtement, les image à partir de peintures sur vases. Enfin, les textes fournissent des indications précieuses sur les realia, par exemple sur la fonction de La toga candida et les élections dans la Rome républicaine.