Corsaire de la République.. Voyages, aventures et combats
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- Nombre de pages356
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.31 kg
- Dimensions12,0 cm × 18,0 cm × 2,0 cm
- ISBN2-85940-765-0
- EAN9782859407650
- Date de parution01/10/2001
- CollectionLibretto
- ÉditeurPhébus (Editions)
Résumé
" Excepté la piraterie, j'ai fait à peu près tous les genres de navigation. Excepté l'Amérique et la Nouvelle-Hollande, j'ai vu à peu près le monde entier. Embarqué à treize ans sur la frégate la Forte, Garneray (1783-1857), compagnon de Surcouf, dresse ici la chronique scrupuleuse de ses premières années passées en mer parmi les corsaires de l'océan Indien. L'époque (1796-1801) est celle des derniers succès de la Marine française, qui connaîtra à Trafalgar le sort que l'on sait : succès dus pour l'essentiel à l'intrépidité de ces capitaines indépendants que la République autorisait à mener la guerre de course aux Anglais, maîtres de l'Inde. Entre Zanzibar et les Philippines, Garneray a partagé, à la vie à la mort, les bons et les mauvais moments de leur existence aventureuse. On lui a reproché en son temps la rude franchise de son style qui " sentait un peu trop le goudron ". C'est justement cette rudesse qui nous enchante aujourd'hui, et qui donne, à ,ou témoignage l'accent inimitable du vrai.
" Excepté la piraterie, j'ai fait à peu près tous les genres de navigation. Excepté l'Amérique et la Nouvelle-Hollande, j'ai vu à peu près le monde entier. Embarqué à treize ans sur la frégate la Forte, Garneray (1783-1857), compagnon de Surcouf, dresse ici la chronique scrupuleuse de ses premières années passées en mer parmi les corsaires de l'océan Indien. L'époque (1796-1801) est celle des derniers succès de la Marine française, qui connaîtra à Trafalgar le sort que l'on sait : succès dus pour l'essentiel à l'intrépidité de ces capitaines indépendants que la République autorisait à mener la guerre de course aux Anglais, maîtres de l'Inde. Entre Zanzibar et les Philippines, Garneray a partagé, à la vie à la mort, les bons et les mauvais moments de leur existence aventureuse. On lui a reproché en son temps la rude franchise de son style qui " sentait un peu trop le goudron ". C'est justement cette rudesse qui nous enchante aujourd'hui, et qui donne, à ,ou témoignage l'accent inimitable du vrai.