Corps et perspective à Florence au XVe siècle

Par : Catherine Roseau

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Nombre de pages201
  • PrésentationBroché
  • Poids0.405 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-35755-121-3
  • EAN9782357551213
  • Date de parution01/09/2015
  • ÉditeurAlain Baudry & Cie

Résumé

Le présent essai sur la perspective des peintres florentins de la première Renaissance résulte d'un double parcours. L'un est associé à l'historien de l'art André Chastel dont l'enseignement sut communiquer l'amour de la culture italienne. L'autre à celui du psychosomaticien Sami-Ali dont les travaux ont souligné l'unité corps/esprit et le rôle du corps comme schéma de représentation dans les oeuvres de l'art à travers la latéralité et le dispositif oculaire.
Le double questionnement historique et anthropologique met en évidence les qualités sensibles de la perspective et ses effets sur le spectateur. L'auteure propose une nouvelle approche de cet épisode crucial de la culture occidentale qui trouva à Florence au XVe siècle les conditions favorables de son développement théorique et pratique. Des artistes d'exception, en s'appuyant sur une longue tradition, prouvent dans leurs oeuvres qu'imaginaire et réalité, sensible et intelligible, science et art entretiennent une relation de complémentarité.
Le présent essai sur la perspective des peintres florentins de la première Renaissance résulte d'un double parcours. L'un est associé à l'historien de l'art André Chastel dont l'enseignement sut communiquer l'amour de la culture italienne. L'autre à celui du psychosomaticien Sami-Ali dont les travaux ont souligné l'unité corps/esprit et le rôle du corps comme schéma de représentation dans les oeuvres de l'art à travers la latéralité et le dispositif oculaire.
Le double questionnement historique et anthropologique met en évidence les qualités sensibles de la perspective et ses effets sur le spectateur. L'auteure propose une nouvelle approche de cet épisode crucial de la culture occidentale qui trouva à Florence au XVe siècle les conditions favorables de son développement théorique et pratique. Des artistes d'exception, en s'appuyant sur une longue tradition, prouvent dans leurs oeuvres qu'imaginaire et réalité, sensible et intelligible, science et art entretiennent une relation de complémentarité.