Corot et les peintres de l'école d'Arras
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- Nombre de pages191
- PrésentationRelié
- Poids1.285 kg
- Dimensions27,0 cm × 26,5 cm × 2,2 cm
- ISBN2-8046-0860-3
- EAN9782804608606
- Date de parution03/02/2004
- CollectionLes beaux livres du patrimoine
- ÉditeurRenaissance du Livre (La)
- PréfacierHélène Portiglia
Résumé
1847 : le peintre et imprimeur arrageois Constant Dutilleux écrit à Camille Corot, dont il a pu admirer l'œuvre au Salon parisien, pour lui commander un tableau.
C'est le point de départ d'une longue amitié qui va amener le maître de Ville d'Avray en Artois, presque chaque année, pendant plus de vingt ans. De ses séjours, Corot laissera une œuvre abondante, de plus de cent cinquante peintures, dessins ou estampes, où s'exprime au mieux son goût pour les paysages lyriques et les étangs brumeux. C'est à Arras que Corot fait la connaissance des futurs gendres de son hôte, Charles Desavary, lui-même peintre, et Alfred Robaut, dessinateur, dont le catalogue raisonné, publié en 1905, deviendra le manuel de référence sur l'œuvre de Corot. La présence d'une telle personnalité dans ce cercle d'artistes crée alors une véritable émulation. Certes, la ville possède déjà une tradition artistique bien ancrée, autour de son Académie, du musée et de l'école communale de dessin, mais la notoriété de Corot, sa bienveillance et la bonne humeur qu'il amène à chacune de ses visites suscitent l'engouement des élèves de Dutilleux : Gustave Colin, Xavier Dourlens ou encore Désiré Dubois. Suivant l'élan pour la peinture de plein air qui les porte aussi à Barbizon ou Fontainebleau, les peintres se retrouvent régulièrement dans la campagne arrageoise. Dans cet univers artistique en pleine évolution, l'appareil photographique côtoie souvent les chevalets. La photographie est en effet très vite adoptée comme un nouveau moyen d'expression artistique ; l'invention, à Arras, du cliché-verre, technique éphémère où Corot excellera, témoigne de la symbiose d'alors entre peintres et photographes. Ce livre retrace l'histoire de ce groupe de peintres de talent, professionnels ou amateurs, qui, dans le sillage de Corot, ont donné à la ville un dynamisme artistique tel que l'on peut véritablement parler aujourd'hui de l'école d'Arras.
C'est le point de départ d'une longue amitié qui va amener le maître de Ville d'Avray en Artois, presque chaque année, pendant plus de vingt ans. De ses séjours, Corot laissera une œuvre abondante, de plus de cent cinquante peintures, dessins ou estampes, où s'exprime au mieux son goût pour les paysages lyriques et les étangs brumeux. C'est à Arras que Corot fait la connaissance des futurs gendres de son hôte, Charles Desavary, lui-même peintre, et Alfred Robaut, dessinateur, dont le catalogue raisonné, publié en 1905, deviendra le manuel de référence sur l'œuvre de Corot. La présence d'une telle personnalité dans ce cercle d'artistes crée alors une véritable émulation. Certes, la ville possède déjà une tradition artistique bien ancrée, autour de son Académie, du musée et de l'école communale de dessin, mais la notoriété de Corot, sa bienveillance et la bonne humeur qu'il amène à chacune de ses visites suscitent l'engouement des élèves de Dutilleux : Gustave Colin, Xavier Dourlens ou encore Désiré Dubois. Suivant l'élan pour la peinture de plein air qui les porte aussi à Barbizon ou Fontainebleau, les peintres se retrouvent régulièrement dans la campagne arrageoise. Dans cet univers artistique en pleine évolution, l'appareil photographique côtoie souvent les chevalets. La photographie est en effet très vite adoptée comme un nouveau moyen d'expression artistique ; l'invention, à Arras, du cliché-verre, technique éphémère où Corot excellera, témoigne de la symbiose d'alors entre peintres et photographes. Ce livre retrace l'histoire de ce groupe de peintres de talent, professionnels ou amateurs, qui, dans le sillage de Corot, ont donné à la ville un dynamisme artistique tel que l'on peut véritablement parler aujourd'hui de l'école d'Arras.
1847 : le peintre et imprimeur arrageois Constant Dutilleux écrit à Camille Corot, dont il a pu admirer l'œuvre au Salon parisien, pour lui commander un tableau.
C'est le point de départ d'une longue amitié qui va amener le maître de Ville d'Avray en Artois, presque chaque année, pendant plus de vingt ans. De ses séjours, Corot laissera une œuvre abondante, de plus de cent cinquante peintures, dessins ou estampes, où s'exprime au mieux son goût pour les paysages lyriques et les étangs brumeux. C'est à Arras que Corot fait la connaissance des futurs gendres de son hôte, Charles Desavary, lui-même peintre, et Alfred Robaut, dessinateur, dont le catalogue raisonné, publié en 1905, deviendra le manuel de référence sur l'œuvre de Corot. La présence d'une telle personnalité dans ce cercle d'artistes crée alors une véritable émulation. Certes, la ville possède déjà une tradition artistique bien ancrée, autour de son Académie, du musée et de l'école communale de dessin, mais la notoriété de Corot, sa bienveillance et la bonne humeur qu'il amène à chacune de ses visites suscitent l'engouement des élèves de Dutilleux : Gustave Colin, Xavier Dourlens ou encore Désiré Dubois. Suivant l'élan pour la peinture de plein air qui les porte aussi à Barbizon ou Fontainebleau, les peintres se retrouvent régulièrement dans la campagne arrageoise. Dans cet univers artistique en pleine évolution, l'appareil photographique côtoie souvent les chevalets. La photographie est en effet très vite adoptée comme un nouveau moyen d'expression artistique ; l'invention, à Arras, du cliché-verre, technique éphémère où Corot excellera, témoigne de la symbiose d'alors entre peintres et photographes. Ce livre retrace l'histoire de ce groupe de peintres de talent, professionnels ou amateurs, qui, dans le sillage de Corot, ont donné à la ville un dynamisme artistique tel que l'on peut véritablement parler aujourd'hui de l'école d'Arras.
C'est le point de départ d'une longue amitié qui va amener le maître de Ville d'Avray en Artois, presque chaque année, pendant plus de vingt ans. De ses séjours, Corot laissera une œuvre abondante, de plus de cent cinquante peintures, dessins ou estampes, où s'exprime au mieux son goût pour les paysages lyriques et les étangs brumeux. C'est à Arras que Corot fait la connaissance des futurs gendres de son hôte, Charles Desavary, lui-même peintre, et Alfred Robaut, dessinateur, dont le catalogue raisonné, publié en 1905, deviendra le manuel de référence sur l'œuvre de Corot. La présence d'une telle personnalité dans ce cercle d'artistes crée alors une véritable émulation. Certes, la ville possède déjà une tradition artistique bien ancrée, autour de son Académie, du musée et de l'école communale de dessin, mais la notoriété de Corot, sa bienveillance et la bonne humeur qu'il amène à chacune de ses visites suscitent l'engouement des élèves de Dutilleux : Gustave Colin, Xavier Dourlens ou encore Désiré Dubois. Suivant l'élan pour la peinture de plein air qui les porte aussi à Barbizon ou Fontainebleau, les peintres se retrouvent régulièrement dans la campagne arrageoise. Dans cet univers artistique en pleine évolution, l'appareil photographique côtoie souvent les chevalets. La photographie est en effet très vite adoptée comme un nouveau moyen d'expression artistique ; l'invention, à Arras, du cliché-verre, technique éphémère où Corot excellera, témoigne de la symbiose d'alors entre peintres et photographes. Ce livre retrace l'histoire de ce groupe de peintres de talent, professionnels ou amateurs, qui, dans le sillage de Corot, ont donné à la ville un dynamisme artistique tel que l'on peut véritablement parler aujourd'hui de l'école d'Arras.