CONSTANTINOPLE 1054-1261.. Tête de la chrétienté, proie des Latins, capitale grecque

Par : Michel Balard, Alain Ducellier

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  • Nombre de pages263
  • PrésentationBroché
  • Poids0.555 kg
  • Dimensions17,1 cm × 24,7 cm × 2,1 cm
  • ISBN2-86260-575-1
  • EAN9782862605753
  • Date de parution01/01/1996
  • CollectionMémoires
  • ÉditeurAutrement (éditions)

Résumé

Longtemps, Constantinople l'imprenable, ville sainte de l'Empire byzantin, aura été la capitale du monde. Ce mythe de la ville-monde fut un puissant ciment pour les peuples hétéroclites - Bulgares, Serbes, Russes - qu'elle rassemblait sous son Empire. Mais, entre le XIe et le XIVe siècle, le prestige de la " nouvelle Rome " s'affaiblit, l'institution impériale se désacralise, la théocratie est mise en question. Après la première croisade, les querelles religieuses entre Rome et Constantinople s'exacerbent. Le 13 avril 1204, les croisés venus d'Occident prennent d'assaut la " ville gardée de Dieu ". Pour la première fois de son histoire, la ville se rend et, avec elle, une grande partie de l'Empire. Il n'y aura qu'une autre chute - définitive - en 1453. On ne peut comprendre aujourd'hui les convulsions de l'Europe orientale sans tenir compte du rêve que partagent les Grecs, les Serbes, les Bulgares et les Russes tous désireux de rendre à Constantinople les insignes impériaux dont les Turcs l'ont dépossédée.
Longtemps, Constantinople l'imprenable, ville sainte de l'Empire byzantin, aura été la capitale du monde. Ce mythe de la ville-monde fut un puissant ciment pour les peuples hétéroclites - Bulgares, Serbes, Russes - qu'elle rassemblait sous son Empire. Mais, entre le XIe et le XIVe siècle, le prestige de la " nouvelle Rome " s'affaiblit, l'institution impériale se désacralise, la théocratie est mise en question. Après la première croisade, les querelles religieuses entre Rome et Constantinople s'exacerbent. Le 13 avril 1204, les croisés venus d'Occident prennent d'assaut la " ville gardée de Dieu ". Pour la première fois de son histoire, la ville se rend et, avec elle, une grande partie de l'Empire. Il n'y aura qu'une autre chute - définitive - en 1453. On ne peut comprendre aujourd'hui les convulsions de l'Europe orientale sans tenir compte du rêve que partagent les Grecs, les Serbes, les Bulgares et les Russes tous désireux de rendre à Constantinople les insignes impériaux dont les Turcs l'ont dépossédée.