Commentaire de la première Épître de S. Jean

Par : Augustin

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  • Nombre de pages452
  • PrésentationBroché
  • Poids0.47 kg
  • Dimensions12,5 cm × 19,5 cm × 3,0 cm
  • ISBN2-204-05108-X
  • EAN9782204051088
  • Date de parution01/10/1994
  • ÉditeurCerf

Résumé

Saint Augustin, souvent représenté avec un coeur enflammé dans la main, est reconnu comme le docteur par excellence de l'amour. Cette réputation, nullement usurpée, se fonde tout spécialement sur l'ouvrage ici édité. De fait, avec ces dix "traités" qui commentent verset par verset presque toute la "Première Epître de Jean" (I, 1 à 5, 3), l'évêque d'Hippone semble accéder à une plénitude dans la découverte de ce que recèle de merveilles la révélation chrétienne de l'amour.
On le voit par comparaison non seulement avec les oeuvres antérieures, mais avec les grandes entreprises de la maturité composées, comme ce Commentaire, autour de 415 ("La Trinit ? , "La Cité de Dieu" , "Homélies sur l'Evangile de Jean"), le texte johannique a porté notre auteur. N'y lit-on pas - et là seulement - l'audacieuse définition : "Dieu est amour" (I Jn 4, 8) ? Il est sûr que l'Eglise d'Afrique, secouée dans ces années par le schisme donatiste, avait besoin d'être enseignée sur les profondeurs divines de l'amour des ennemis.
Il est non moins sûr que, aujourd'hui, nous avons besoin d'écouter Augustin pour ne pas nous tromper, théoriquement et pratiquement, sur ce qui est le plus grand bien pour l'homme de tous les temps.
Saint Augustin, souvent représenté avec un coeur enflammé dans la main, est reconnu comme le docteur par excellence de l'amour. Cette réputation, nullement usurpée, se fonde tout spécialement sur l'ouvrage ici édité. De fait, avec ces dix "traités" qui commentent verset par verset presque toute la "Première Epître de Jean" (I, 1 à 5, 3), l'évêque d'Hippone semble accéder à une plénitude dans la découverte de ce que recèle de merveilles la révélation chrétienne de l'amour.
On le voit par comparaison non seulement avec les oeuvres antérieures, mais avec les grandes entreprises de la maturité composées, comme ce Commentaire, autour de 415 ("La Trinit ? , "La Cité de Dieu" , "Homélies sur l'Evangile de Jean"), le texte johannique a porté notre auteur. N'y lit-on pas - et là seulement - l'audacieuse définition : "Dieu est amour" (I Jn 4, 8) ? Il est sûr que l'Eglise d'Afrique, secouée dans ces années par le schisme donatiste, avait besoin d'être enseignée sur les profondeurs divines de l'amour des ennemis.
Il est non moins sûr que, aujourd'hui, nous avons besoin d'écouter Augustin pour ne pas nous tromper, théoriquement et pratiquement, sur ce qui est le plus grand bien pour l'homme de tous les temps.
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