Comment peut-on être de droite aujourd'hui ?. Et pour un nouveau contrat social
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- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- Poids0.32 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,0 cm
- ISBN2-84114-833-5
- EAN9782841148332
- Date de parution17/10/2006
- ÉditeurRamsay
- PréfacierJean-François Achilli
Résumé
" Comment peut-on être de droite aujourd'hui en France ? Comment peut-on être de droite et Persan ? Ou, très exactement, Français d'origine iranienne, c'est-à-dire enfant d'immigré, et de droite ? Comment peut-on s'appeler Arash Derambarsh, avoir vingt-sept ans, habiter Courbevoie, la banlieue de Paris, et voter à droite, militer à droite, avoir foi en la droite ? " Oui, il existe des hommes de droite qui souhaitent faire surgir dans leur propre camp des voix nouvelles.
Parce qu'ils jugent que les mots d'ordre habituels se ringardisent chaque jour un peu plus, parce qu'ils pensent que certains affichent des comportements qui déshonorent la République, en appelant à une France d'exclusion, xénophobe et frileuse, prête à faire le lit de tous les extrémismes. Arash Derambarsh, membre du Conseil national de l'UDF, s'insurge. Brandissant le flambeau d'une nouvelle droite humaniste, il part en guerre contre l'injustice sociale infligée aux banlieues, l'iniquité du sort réservé aux plus jeunes, aux femmes et aux immigrés.
Passant en revue les menaces qui pèsent sur la laïcité, s'inquiétant de la disparition de la valeur-travail et de la fierté d'être Français, il en appelle à l'instauration d'une VIe République sociale et libérale, qui renouvellera la vie politique française. Avec toute la fougue, l'élan et la liberté de la jeunesse, il propose un nouveau Contrat social en six points et des solutions audacieuses aux problèmes les plus brûlants.
Et, parce que croire en la politique, c'est d'abord réinvestir un débat d'idées, Arash Derambarsh ne craint pas de confronter les siennes à un contradicteur cynique et désabusé - un Candide à rebours -, mais qui, lui aussi, croit encore à la République. Voilà donc une profession de foi enthousiaste, qui propose une vision décapante du paysage politique français.
Parce qu'ils jugent que les mots d'ordre habituels se ringardisent chaque jour un peu plus, parce qu'ils pensent que certains affichent des comportements qui déshonorent la République, en appelant à une France d'exclusion, xénophobe et frileuse, prête à faire le lit de tous les extrémismes. Arash Derambarsh, membre du Conseil national de l'UDF, s'insurge. Brandissant le flambeau d'une nouvelle droite humaniste, il part en guerre contre l'injustice sociale infligée aux banlieues, l'iniquité du sort réservé aux plus jeunes, aux femmes et aux immigrés.
Passant en revue les menaces qui pèsent sur la laïcité, s'inquiétant de la disparition de la valeur-travail et de la fierté d'être Français, il en appelle à l'instauration d'une VIe République sociale et libérale, qui renouvellera la vie politique française. Avec toute la fougue, l'élan et la liberté de la jeunesse, il propose un nouveau Contrat social en six points et des solutions audacieuses aux problèmes les plus brûlants.
Et, parce que croire en la politique, c'est d'abord réinvestir un débat d'idées, Arash Derambarsh ne craint pas de confronter les siennes à un contradicteur cynique et désabusé - un Candide à rebours -, mais qui, lui aussi, croit encore à la République. Voilà donc une profession de foi enthousiaste, qui propose une vision décapante du paysage politique français.
" Comment peut-on être de droite aujourd'hui en France ? Comment peut-on être de droite et Persan ? Ou, très exactement, Français d'origine iranienne, c'est-à-dire enfant d'immigré, et de droite ? Comment peut-on s'appeler Arash Derambarsh, avoir vingt-sept ans, habiter Courbevoie, la banlieue de Paris, et voter à droite, militer à droite, avoir foi en la droite ? " Oui, il existe des hommes de droite qui souhaitent faire surgir dans leur propre camp des voix nouvelles.
Parce qu'ils jugent que les mots d'ordre habituels se ringardisent chaque jour un peu plus, parce qu'ils pensent que certains affichent des comportements qui déshonorent la République, en appelant à une France d'exclusion, xénophobe et frileuse, prête à faire le lit de tous les extrémismes. Arash Derambarsh, membre du Conseil national de l'UDF, s'insurge. Brandissant le flambeau d'une nouvelle droite humaniste, il part en guerre contre l'injustice sociale infligée aux banlieues, l'iniquité du sort réservé aux plus jeunes, aux femmes et aux immigrés.
Passant en revue les menaces qui pèsent sur la laïcité, s'inquiétant de la disparition de la valeur-travail et de la fierté d'être Français, il en appelle à l'instauration d'une VIe République sociale et libérale, qui renouvellera la vie politique française. Avec toute la fougue, l'élan et la liberté de la jeunesse, il propose un nouveau Contrat social en six points et des solutions audacieuses aux problèmes les plus brûlants.
Et, parce que croire en la politique, c'est d'abord réinvestir un débat d'idées, Arash Derambarsh ne craint pas de confronter les siennes à un contradicteur cynique et désabusé - un Candide à rebours -, mais qui, lui aussi, croit encore à la République. Voilà donc une profession de foi enthousiaste, qui propose une vision décapante du paysage politique français.
Parce qu'ils jugent que les mots d'ordre habituels se ringardisent chaque jour un peu plus, parce qu'ils pensent que certains affichent des comportements qui déshonorent la République, en appelant à une France d'exclusion, xénophobe et frileuse, prête à faire le lit de tous les extrémismes. Arash Derambarsh, membre du Conseil national de l'UDF, s'insurge. Brandissant le flambeau d'une nouvelle droite humaniste, il part en guerre contre l'injustice sociale infligée aux banlieues, l'iniquité du sort réservé aux plus jeunes, aux femmes et aux immigrés.
Passant en revue les menaces qui pèsent sur la laïcité, s'inquiétant de la disparition de la valeur-travail et de la fierté d'être Français, il en appelle à l'instauration d'une VIe République sociale et libérale, qui renouvellera la vie politique française. Avec toute la fougue, l'élan et la liberté de la jeunesse, il propose un nouveau Contrat social en six points et des solutions audacieuses aux problèmes les plus brûlants.
Et, parce que croire en la politique, c'est d'abord réinvestir un débat d'idées, Arash Derambarsh ne craint pas de confronter les siennes à un contradicteur cynique et désabusé - un Candide à rebours -, mais qui, lui aussi, croit encore à la République. Voilà donc une profession de foi enthousiaste, qui propose une vision décapante du paysage politique français.