Comment les médias nous parlent (mal). "Contre le pessimisme médiatique et ses effets politiques"
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- Nombre de pages76
- PrésentationBroché
- Poids0.1 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 0,7 cm
- ISBN979-10-252-0016-2
- EAN9791025200162
- Date de parution09/01/2014
- CollectionThermos
- ÉditeurLes Pérégrines
Résumé
Mariette Darrigrand décortique notre condition de soumis volontaire aux flux médiatiques et qui, un beau jour, ressent ce sentiment déprimant de vide de trop de paroles inutiles. Depuis Platon, Doxa signifie la parole vide tandis que Logos est la parole pleine. Or, cette lutte incessante entre le faux et le vrai s'épanouit désormais sur un vaste champ de bataille, le monde hypermédiatique dans lequel nous baignons.
Avec perspicacité, érudition et une bonne dose d'humour, l'auteur pointe les tics de langage journalistique qui ont des effets dévastateurs, si ce n'est destructeurs, sur les débats publics. A côté de la nécessaire fonction démocratique et éthique, elle recommande au fameux quatrième pouvoir de s'imposer une "fonction métalinguistique" qui consisterait à réfléchir sur les mots et les discours utilisés par les médias.
Avec perspicacité, érudition et une bonne dose d'humour, l'auteur pointe les tics de langage journalistique qui ont des effets dévastateurs, si ce n'est destructeurs, sur les débats publics. A côté de la nécessaire fonction démocratique et éthique, elle recommande au fameux quatrième pouvoir de s'imposer une "fonction métalinguistique" qui consisterait à réfléchir sur les mots et les discours utilisés par les médias.
Mariette Darrigrand décortique notre condition de soumis volontaire aux flux médiatiques et qui, un beau jour, ressent ce sentiment déprimant de vide de trop de paroles inutiles. Depuis Platon, Doxa signifie la parole vide tandis que Logos est la parole pleine. Or, cette lutte incessante entre le faux et le vrai s'épanouit désormais sur un vaste champ de bataille, le monde hypermédiatique dans lequel nous baignons.
Avec perspicacité, érudition et une bonne dose d'humour, l'auteur pointe les tics de langage journalistique qui ont des effets dévastateurs, si ce n'est destructeurs, sur les débats publics. A côté de la nécessaire fonction démocratique et éthique, elle recommande au fameux quatrième pouvoir de s'imposer une "fonction métalinguistique" qui consisterait à réfléchir sur les mots et les discours utilisés par les médias.
Avec perspicacité, érudition et une bonne dose d'humour, l'auteur pointe les tics de langage journalistique qui ont des effets dévastateurs, si ce n'est destructeurs, sur les débats publics. A côté de la nécessaire fonction démocratique et éthique, elle recommande au fameux quatrième pouvoir de s'imposer une "fonction métalinguistique" qui consisterait à réfléchir sur les mots et les discours utilisés par les médias.