Comment la France conquit l'Angleterre en 1888

Par : Henri Buchard

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  • Nombre de pages116
  • PrésentationBroché
  • Poids0.135 kg
  • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-2-36634-000-6
  • EAN9782366340006
  • Date de parution20/12/2012
  • CollectionUchronie
  • ÉditeurPRNG
  • ContributeurSpiridion Gopcevic

Résumé

Ce fut, au départ, un Kriegspiel (jeu de guerre) écrit par Spiridion Gopcevic et traduit en français en 1891. Le but était de démontrer la suprématie de la torpille par rapport au cuirassage des vaisseaux de guerre et aux manouvres d'éperonnage. Il en résulte cette uchronie militaire où la France républicaine, après l'annexion de l'Egypte par l'Angleterre, décide de déclarer la guerre à la perfide Albion.
Cette guerre de 1888, essentiellement maritime, se joue en quelques combats navals où la suprématie anglaise est mise à mal et les flottes anglaises anéanties ne peuvent empêcher le débarquement puis la victoire des armées françaises en Angleterre, sans compter le soulèvement de l'Irlande devenue protectorat français... Il y a bien quelque plaisir « revanchard » à prendre sur la marine anglaise : on connaît trop la désespérante manie des Anglais à battre les Français dans les combats navals depuis la bataille de L'Ecluse, au moyen-âge, jusqu'à Aboukir, Trafalgar ou même Mers-el-Kébir...
En voilà bien une occasion toute trouvée !
Ce fut, au départ, un Kriegspiel (jeu de guerre) écrit par Spiridion Gopcevic et traduit en français en 1891. Le but était de démontrer la suprématie de la torpille par rapport au cuirassage des vaisseaux de guerre et aux manouvres d'éperonnage. Il en résulte cette uchronie militaire où la France républicaine, après l'annexion de l'Egypte par l'Angleterre, décide de déclarer la guerre à la perfide Albion.
Cette guerre de 1888, essentiellement maritime, se joue en quelques combats navals où la suprématie anglaise est mise à mal et les flottes anglaises anéanties ne peuvent empêcher le débarquement puis la victoire des armées françaises en Angleterre, sans compter le soulèvement de l'Irlande devenue protectorat français... Il y a bien quelque plaisir « revanchard » à prendre sur la marine anglaise : on connaît trop la désespérante manie des Anglais à battre les Français dans les combats navals depuis la bataille de L'Ecluse, au moyen-âge, jusqu'à Aboukir, Trafalgar ou même Mers-el-Kébir...
En voilà bien une occasion toute trouvée !