Coup de coeur

Comment braquer une banque sans perdre son dentier

Par : Catharina Ingelman-Sundberg
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  • Nombre de pages425
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.457 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,8 cm
  • ISBN978-2-265-09763-6
  • EAN9782265097636
  • Date de parution13/03/2014
  • ÉditeurFleuve Noir
  • TraducteurHélène Hervieu

Résumé

Ils s'appellent Märtha, Stina, Anna-Greta, le Génie, le Râteau, ils chantent dans la même chorale et vivent dans la même maison de retraite. Nourriture insipide, traitement lamentable, restrictions constantes, pas étonnant que les résidents passent l'arme à gauche. Franchement, la vie ne serait pas pire en prison ! D'ailleurs, à Stockholm, elles ont plutôt bonne presse. Voilà l'idée ! Les cinq amis vont commettre un délit et faire en sorte d'être condamnés : en plus d'avoir la vie douce, ils pourraient redistribuer les bénéfices aux pauvres et aux vieux du pays.
Un brin rebelles et idéalistes, un peu fous aussi, les cinq comparses se lancent dans le grand banditisme. Mais évidemment rien ne va se passer comme prévu.
Ils s'appellent Märtha, Stina, Anna-Greta, le Génie, le Râteau, ils chantent dans la même chorale et vivent dans la même maison de retraite. Nourriture insipide, traitement lamentable, restrictions constantes, pas étonnant que les résidents passent l'arme à gauche. Franchement, la vie ne serait pas pire en prison ! D'ailleurs, à Stockholm, elles ont plutôt bonne presse. Voilà l'idée ! Les cinq amis vont commettre un délit et faire en sorte d'être condamnés : en plus d'avoir la vie douce, ils pourraient redistribuer les bénéfices aux pauvres et aux vieux du pays.
Un brin rebelles et idéalistes, un peu fous aussi, les cinq comparses se lancent dans le grand banditisme. Mais évidemment rien ne va se passer comme prévu.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.6/5
sur 5 notes dont 3 avis lecteurs
Un peu de gaité pour les retraités
Livre drôle et bien écrit. Une joyeuse bande composée de personnage fantasque dans une maison de retraite se rebiffe. Chacun au contact des autres s'entraide et s'entraîne pour échapper au quotidien et surtout pour partir de cette prison comme ils disent mais comment faire quand on n'a pas d'argent Et bien on braque une banque .... on passe un bon moment.
Livre drôle et bien écrit. Une joyeuse bande composée de personnage fantasque dans une maison de retraite se rebiffe. Chacun au contact des autres s'entraide et s'entraîne pour échapper au quotidien et surtout pour partir de cette prison comme ils disent mais comment faire quand on n'a pas d'argent Et bien on braque une banque .... on passe un bon moment.
un bon moment de lecture!
J'ai beaucoup aimé ce livre! Il faut dire qu'il n'est pas courant de rencontrer des personnages tels que ceux de « la bande des retraités », comme ils se surnomment eux-même. Ces fringants seniors ont tout pour plaire. Ils regorgent d'idée pour tromper l'ennui mais aussi et surtout pour quitter leur maison de retraite qu'ils considèrent pire que...la prison. Pour éviter de finir leurs jours entre les murs de cette sordide résidence pour seniors où l'on compte le nombre de tasses de café qu'on leur sert, ils décident de devenir...des bandits. Oui, oui, des bandits, mais pas comme Mesrine, plutôt comme Robin des Bois, avec l'espoir que l'argent qu'ils récupéreront pourra servir aussi bien leur cause que celle d'autres personnes, si possible des retraités en mal de brioche tressée comme eux. Mais revenons-en au début de l'histoire. L'auteure nous propose de suivre les aventures de cinq personnages tous plus intrépides les uns que les autres : Marthä,le cerveau de la bande, accompagnée de quatre compères, Stina,Anna-Greta, le Génie et le Râteau. Entre grande vie dans un hôtel de luxe, braquage de fourgon blindé et passage par la case prison,nous voilà entraîné dans les folles aventures de cette petite troupe de joyeux lurons qui ne manquent pas de ressources pour mettre en œuvre leurs plans diaboliques, le tout pour notre plus grand bonheur bien sûr. J'ai particulièrement apprécié cette lecture, aussi bien pour son côté divertissant que pour les réflexions qu'elle apporte et qu'il faut lire entre les lignes. Car sous couvert de ses personnages du troisième âge très attachants,l'auteure livre une critique de la prise en charge des personnes âgées dans nos sociétés modernes, et dénonce les comportements parfois répréhensibles des dirigeants de ces établissements, qui,malheureusement, ne se trouvent pas seulement que dans les livres. Alors si vous voulez voir un peu ce dont sont capables des personnes âgées lorsqu'elles unissent leurs forces (aidés de leurs déambulateurs) pour changer de vie, et bien lisez ce livre. Après ça vous ne verrez plus jamais les gens appartenant au troisième (voir quatrième) âge comme avant!
J'ai beaucoup aimé ce livre! Il faut dire qu'il n'est pas courant de rencontrer des personnages tels que ceux de « la bande des retraités », comme ils se surnomment eux-même. Ces fringants seniors ont tout pour plaire. Ils regorgent d'idée pour tromper l'ennui mais aussi et surtout pour quitter leur maison de retraite qu'ils considèrent pire que...la prison. Pour éviter de finir leurs jours entre les murs de cette sordide résidence pour seniors où l'on compte le nombre de tasses de café qu'on leur sert, ils décident de devenir...des bandits. Oui, oui, des bandits, mais pas comme Mesrine, plutôt comme Robin des Bois, avec l'espoir que l'argent qu'ils récupéreront pourra servir aussi bien leur cause que celle d'autres personnes, si possible des retraités en mal de brioche tressée comme eux. Mais revenons-en au début de l'histoire. L'auteure nous propose de suivre les aventures de cinq personnages tous plus intrépides les uns que les autres : Marthä,le cerveau de la bande, accompagnée de quatre compères, Stina,Anna-Greta, le Génie et le Râteau. Entre grande vie dans un hôtel de luxe, braquage de fourgon blindé et passage par la case prison,nous voilà entraîné dans les folles aventures de cette petite troupe de joyeux lurons qui ne manquent pas de ressources pour mettre en œuvre leurs plans diaboliques, le tout pour notre plus grand bonheur bien sûr. J'ai particulièrement apprécié cette lecture, aussi bien pour son côté divertissant que pour les réflexions qu'elle apporte et qu'il faut lire entre les lignes. Car sous couvert de ses personnages du troisième âge très attachants,l'auteure livre une critique de la prise en charge des personnes âgées dans nos sociétés modernes, et dénonce les comportements parfois répréhensibles des dirigeants de ces établissements, qui,malheureusement, ne se trouvent pas seulement que dans les livres. Alors si vous voulez voir un peu ce dont sont capables des personnes âgées lorsqu'elles unissent leurs forces (aidés de leurs déambulateurs) pour changer de vie, et bien lisez ce livre. Après ça vous ne verrez plus jamais les gens appartenant au troisième (voir quatrième) âge comme avant!
Le suédois retraité est facétieux
A fini « Comment braquer une banque sans perdre son dentier » (Catharina Ingelman-Sundberg, éd. Fleuve éditions). Märtha, Stina, Anna-Greta, « Le Génie » et « Le Râteau » : 3 femmes et 2 hommes, suédois et retraités (la plus jeune à 77 ans). Retenez bien ces prénoms et surnoms, ils vous emmèneront dans un voyage en absurdie pas piquer des vers. Jugez-en plutôt : ils coulent une retraite pas si dorée que cela dans une maison de retraite dont la direction vient de changer… et pas en bien. Elle rogne sut tout : la nourriture, les loisirs et même, et là il ne faut pas pousser, sur les décorations de Noël. Alors, nos 5 vaillants retraités décident d’agir et, suite à la diffusion d’un reportage sur les prisons suédoises qui ont l’air tout de même plus agréable que leur cloaque de retraite, envisagent sérieusement de commettre un délit qui leur permettra d’assurer leur avenir financier et de se faire condamner à une peine de prison leur laissant le loisir de goûter aux plaisirs de ce lieu sur lequel ils fantasment. Prenez les petits vieux que l’on croise chez Pascale Gautier (in « Les vieilles »), ajoutez-y la guigne légendaire de l’équipe de Dortmunder (ici et là) de Donald Westlake et vous aurez un cocktail assez proche en goût de ce que propose ce roman. Le premier « crime » commis par nos sémillants septuagénaires est assez symptomatique. Mécontents de leur nourriture, ils décident de faire un « casse » dans la cuisine de l’étage de la direction : légumes frais, poissons pas panés, viande variée et goûteuse, etc… ils se tapent un bon gueuleton bien arrosé. Malheureusement pour eux, rattrapés par leur âge avancé et l’alcool ingurgité, ils s’endormiront autour de la table malgré leurs velléités de rangement pour laisser l’endroit aussi propre à leur départ qu’à leur arrivée et se feront choper par le directeur le lendemain matin ! L’humour provient certes de cette déveine constante (toujours précédemment contrebalancée dans le livre par les circonstances chanceuses des effractions commises par le groupe et leur simplicité déconcertante, peu crédible certes mais le propos n’est pas là), mais jamais rédhibitoire, mais aussi du décalage créé par ces petits vieux qui se piquent de cambriolage, de kidnapping, j’en passe et des meilleurs, et par leurs caractères bien trempés. Ils traînent avec leurs déambulateurs, fuguent de la maison de retraite. « Le Génie » doit son surnom à toutes sortes d’invention allant du chausson lumineux équipé de diodes à… mais je vous le laisserai découvrir. « Le Râteau » a la main verte, Anna-Greta vient d’une famille aisée et Stina se prend pour une gravure de mode. Le cerveau de la bande, Märtha, n’a pas froid aux yeux et les exactions commises par cette bande de vieux loufoques les rajeunissent. Alors bien sûr, Ingelman-Sundberg en rajoute dans la caricature des personnages et des situations : de la direction et des infirmières de la maison de retraite odieux et pingres aux policiers incompétents qui ne voient vraiment pas plus loin que le bout de leur nez, de quiproquos ahurissants en rebondissements invraisemblables… mais le roman fonctionne bien, est drôle et on se prend à rêver au succès de ces vieilles canailles.
A fini « Comment braquer une banque sans perdre son dentier » (Catharina Ingelman-Sundberg, éd. Fleuve éditions). Märtha, Stina, Anna-Greta, « Le Génie » et « Le Râteau » : 3 femmes et 2 hommes, suédois et retraités (la plus jeune à 77 ans). Retenez bien ces prénoms et surnoms, ils vous emmèneront dans un voyage en absurdie pas piquer des vers. Jugez-en plutôt : ils coulent une retraite pas si dorée que cela dans une maison de retraite dont la direction vient de changer… et pas en bien. Elle rogne sut tout : la nourriture, les loisirs et même, et là il ne faut pas pousser, sur les décorations de Noël. Alors, nos 5 vaillants retraités décident d’agir et, suite à la diffusion d’un reportage sur les prisons suédoises qui ont l’air tout de même plus agréable que leur cloaque de retraite, envisagent sérieusement de commettre un délit qui leur permettra d’assurer leur avenir financier et de se faire condamner à une peine de prison leur laissant le loisir de goûter aux plaisirs de ce lieu sur lequel ils fantasment. Prenez les petits vieux que l’on croise chez Pascale Gautier (in « Les vieilles »), ajoutez-y la guigne légendaire de l’équipe de Dortmunder (ici et là) de Donald Westlake et vous aurez un cocktail assez proche en goût de ce que propose ce roman. Le premier « crime » commis par nos sémillants septuagénaires est assez symptomatique. Mécontents de leur nourriture, ils décident de faire un « casse » dans la cuisine de l’étage de la direction : légumes frais, poissons pas panés, viande variée et goûteuse, etc… ils se tapent un bon gueuleton bien arrosé. Malheureusement pour eux, rattrapés par leur âge avancé et l’alcool ingurgité, ils s’endormiront autour de la table malgré leurs velléités de rangement pour laisser l’endroit aussi propre à leur départ qu’à leur arrivée et se feront choper par le directeur le lendemain matin ! L’humour provient certes de cette déveine constante (toujours précédemment contrebalancée dans le livre par les circonstances chanceuses des effractions commises par le groupe et leur simplicité déconcertante, peu crédible certes mais le propos n’est pas là), mais jamais rédhibitoire, mais aussi du décalage créé par ces petits vieux qui se piquent de cambriolage, de kidnapping, j’en passe et des meilleurs, et par leurs caractères bien trempés. Ils traînent avec leurs déambulateurs, fuguent de la maison de retraite. « Le Génie » doit son surnom à toutes sortes d’invention allant du chausson lumineux équipé de diodes à… mais je vous le laisserai découvrir. « Le Râteau » a la main verte, Anna-Greta vient d’une famille aisée et Stina se prend pour une gravure de mode. Le cerveau de la bande, Märtha, n’a pas froid aux yeux et les exactions commises par cette bande de vieux loufoques les rajeunissent. Alors bien sûr, Ingelman-Sundberg en rajoute dans la caricature des personnages et des situations : de la direction et des infirmières de la maison de retraite odieux et pingres aux policiers incompétents qui ne voient vraiment pas plus loin que le bout de leur nez, de quiproquos ahurissants en rebondissements invraisemblables… mais le roman fonctionne bien, est drôle et on se prend à rêver au succès de ces vieilles canailles.
  • Drôle
  • XXIe siècle
  • Stockholm
  • Martha
  • Stina
  • Anna-Greta
  • « Le Génie »
  • « Le Râteau »
  • cambriolages
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Little Old Lady Behaving Badly
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