Colonel Le Cocq

Par : Jean Charbonneau
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  • Nombre de pages178
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids0.485 kg
  • Dimensions21,8 cm × 49,4 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-36445-246-6
  • EAN9782364452466
  • Date de parution25/08/2023
  • ÉditeurPierre de Taillac

Résumé

Dépourvu de toute ascendance militaire, comment expliquer la vocation de ce grand soldat ? Né à Rennes en 1898, ce fils de fonctionnaire breton se prépare dès l'adolescence à intégrer l'Ecole de Saint-Cyr. Sorti diplômé le 17 août 1918, il sera engagé sur tous les théâtres, sans interruption. De la première à la seconde guerre mondiale, en passant par le désert, Charles Le Cocq enchaînera se battra sans relâche : reconquête d'un village sous les mitraillettes allemandes en juillet 1918, affrontement de rebelles mauritaniens en 1932, ralliement à la France libre, résistance face aux forces japonaises en Indochine...
Seule une balle dans le coeur, le 11 mars 1945, parviendra à stopper sa "très belle attitude au feu" . Cette vie au service de la France, ce courage, ces vertus martiales lui vaudront d'êtrefait "compagnon de la Libération" . Près de 80 ans après sa disparition, cet officier exemplaire est choisi par la 208e promotion de Saint-Cyr comme parrain de promotion. Mais pas son histoire, retracée à l'encre dans ces pages par le général Jean Charbonneau
Dépourvu de toute ascendance militaire, comment expliquer la vocation de ce grand soldat ? Né à Rennes en 1898, ce fils de fonctionnaire breton se prépare dès l'adolescence à intégrer l'Ecole de Saint-Cyr. Sorti diplômé le 17 août 1918, il sera engagé sur tous les théâtres, sans interruption. De la première à la seconde guerre mondiale, en passant par le désert, Charles Le Cocq enchaînera se battra sans relâche : reconquête d'un village sous les mitraillettes allemandes en juillet 1918, affrontement de rebelles mauritaniens en 1932, ralliement à la France libre, résistance face aux forces japonaises en Indochine...
Seule une balle dans le coeur, le 11 mars 1945, parviendra à stopper sa "très belle attitude au feu" . Cette vie au service de la France, ce courage, ces vertus martiales lui vaudront d'êtrefait "compagnon de la Libération" . Près de 80 ans après sa disparition, cet officier exemplaire est choisi par la 208e promotion de Saint-Cyr comme parrain de promotion. Mais pas son histoire, retracée à l'encre dans ces pages par le général Jean Charbonneau