Clinique et philosophie d'une maladie sans nom. Une année sans printemps

Par : Florence Salvetti
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages152
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.2 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-343-23737-4
  • EAN9782343237374
  • Date de parution26/07/2021
  • CollectionRue des écoles
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Ce témoignage philosophique prend la forme d'une odyssée dont le sujet est résolument antipoétique. Une odyssée médicale véridique, commencée dans un contexte historique et social traumatique, durant l'épidémie du coronavirus. L'auteure, tombée sérieusement malade, a souffert de toutes sortes de maux qui n'ont jamais ressemblé au coronavirus, la rendant peu digne de secours. Elle rapporte sa propre expérience du désert médical et humain dans lequel se trouve le malade qui n'est pas pris en charge, celui qu'on ignore ou que l'on fait passer pour faible psychologiquement parce qu'on ne prend ni le temps ni la peine de s'interroger sur son mal.
Elle découvre une société panprocédurale, dont les membres sont fondamentalement désengagés et dont l'unique moteur est le profit, non le soin de la personne. Cet essai se veut à la fois un témoignage accessible, une critique sociale et, au-delà, une petite philosophie de la maladie abordée du point de vue du malade.
Ce témoignage philosophique prend la forme d'une odyssée dont le sujet est résolument antipoétique. Une odyssée médicale véridique, commencée dans un contexte historique et social traumatique, durant l'épidémie du coronavirus. L'auteure, tombée sérieusement malade, a souffert de toutes sortes de maux qui n'ont jamais ressemblé au coronavirus, la rendant peu digne de secours. Elle rapporte sa propre expérience du désert médical et humain dans lequel se trouve le malade qui n'est pas pris en charge, celui qu'on ignore ou que l'on fait passer pour faible psychologiquement parce qu'on ne prend ni le temps ni la peine de s'interroger sur son mal.
Elle découvre une société panprocédurale, dont les membres sont fondamentalement désengagés et dont l'unique moteur est le profit, non le soin de la personne. Cet essai se veut à la fois un témoignage accessible, une critique sociale et, au-delà, une petite philosophie de la maladie abordée du point de vue du malade.