Citoyenneté et participation à la basse époque hellénistique
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- Nombre de pages312
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.455 kg
- Dimensions15,2 cm × 22,2 cm × 2,0 cm
- ISBN2-600-01052-1
- EAN9782600010528
- Date de parution01/11/2005
- CollectionHautes études gréco-romain
- ÉditeurDroz
Résumé
Si aujourd'hui la polis n'est plus morte à Chéronée, la période qui s'ouvre avec le 110 s. av. J.-C. n'en reste pas moins largement terra incognita, y compris pour l'étude des institutions des cités grecques. Cette période, qui doit à Louis Robert son nom de "basse époque hellénistique", est marquée dans la documentation épigraphique par une rhétorique particulière et l'octroi d'honneurs exceptionnels à quelques grands évergètes, qui ont souvent fait conclure à la dépolitisation de la vie civique.
Pourtant, l'analyse systématique des inscriptions, région par région, permet de poser quelques questions essentielles : quelle périodisation proposer pour ces deux ou trois siècles d'histoire, où les charnières chronologiques semblent varier fortement ? Les citoyens sont-ils encore acteurs ou deviennent-ils les simples spectateurs d'une vie civique confisquée par une poignée de notables monopolisant les magistratures et les places au Conseil ? Enfin, peut-on mesurer les conséquences de la conquête romaine sur les institutions ? Tels sont les axes de réflexion d'une table-ronde qui réunit autour de Philippe Gauthier un groupe de chercheurs, dont l'objectif est d'abord d'ouvrir des perspectives.
Pourtant, l'analyse systématique des inscriptions, région par région, permet de poser quelques questions essentielles : quelle périodisation proposer pour ces deux ou trois siècles d'histoire, où les charnières chronologiques semblent varier fortement ? Les citoyens sont-ils encore acteurs ou deviennent-ils les simples spectateurs d'une vie civique confisquée par une poignée de notables monopolisant les magistratures et les places au Conseil ? Enfin, peut-on mesurer les conséquences de la conquête romaine sur les institutions ? Tels sont les axes de réflexion d'une table-ronde qui réunit autour de Philippe Gauthier un groupe de chercheurs, dont l'objectif est d'abord d'ouvrir des perspectives.
Si aujourd'hui la polis n'est plus morte à Chéronée, la période qui s'ouvre avec le 110 s. av. J.-C. n'en reste pas moins largement terra incognita, y compris pour l'étude des institutions des cités grecques. Cette période, qui doit à Louis Robert son nom de "basse époque hellénistique", est marquée dans la documentation épigraphique par une rhétorique particulière et l'octroi d'honneurs exceptionnels à quelques grands évergètes, qui ont souvent fait conclure à la dépolitisation de la vie civique.
Pourtant, l'analyse systématique des inscriptions, région par région, permet de poser quelques questions essentielles : quelle périodisation proposer pour ces deux ou trois siècles d'histoire, où les charnières chronologiques semblent varier fortement ? Les citoyens sont-ils encore acteurs ou deviennent-ils les simples spectateurs d'une vie civique confisquée par une poignée de notables monopolisant les magistratures et les places au Conseil ? Enfin, peut-on mesurer les conséquences de la conquête romaine sur les institutions ? Tels sont les axes de réflexion d'une table-ronde qui réunit autour de Philippe Gauthier un groupe de chercheurs, dont l'objectif est d'abord d'ouvrir des perspectives.
Pourtant, l'analyse systématique des inscriptions, région par région, permet de poser quelques questions essentielles : quelle périodisation proposer pour ces deux ou trois siècles d'histoire, où les charnières chronologiques semblent varier fortement ? Les citoyens sont-ils encore acteurs ou deviennent-ils les simples spectateurs d'une vie civique confisquée par une poignée de notables monopolisant les magistratures et les places au Conseil ? Enfin, peut-on mesurer les conséquences de la conquête romaine sur les institutions ? Tels sont les axes de réflexion d'une table-ronde qui réunit autour de Philippe Gauthier un groupe de chercheurs, dont l'objectif est d'abord d'ouvrir des perspectives.