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Ciano. Le gendre de Mussolini
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- Nombre de pages433
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.238 kg
- Dimensions11,1 cm × 17,9 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-262-04144-1
- EAN9782262041441
- Date de parution20/03/2014
- CollectionTempus
- ÉditeurPerrin
Résumé
A l'aube du 11 janvier 1944, le comte Galeazzo Ciano, gendre de Mussolini, est ligoté sur une chaise et fusillé dans le dos, comme les traîtres, par un peloton de fascistes de la République sociale de Salo. Engagé très jeune dans le mouvement fasciste, il a épousé la fille du Duce qui l'a vite nommé aux Affaires étrangères. D'abord artisan de l'alliance avec Hitler, Ciano découvre peu à peu avec indignation les ambitions délirantes des dirigeants nazis.
En 1939, il tente de désengager l'Italie de cette alliance désastreuse, mais échoue. S'il a toujours été hostile à la démocratie, il cesse alors d'être fasciste, opte pour un conservatisme autoritaire et s'oppose à Mussolini, ce que les hiérarques du régime ne lui pardonneront pas.
En 1939, il tente de désengager l'Italie de cette alliance désastreuse, mais échoue. S'il a toujours été hostile à la démocratie, il cesse alors d'être fasciste, opte pour un conservatisme autoritaire et s'oppose à Mussolini, ce que les hiérarques du régime ne lui pardonneront pas.
A l'aube du 11 janvier 1944, le comte Galeazzo Ciano, gendre de Mussolini, est ligoté sur une chaise et fusillé dans le dos, comme les traîtres, par un peloton de fascistes de la République sociale de Salo. Engagé très jeune dans le mouvement fasciste, il a épousé la fille du Duce qui l'a vite nommé aux Affaires étrangères. D'abord artisan de l'alliance avec Hitler, Ciano découvre peu à peu avec indignation les ambitions délirantes des dirigeants nazis.
En 1939, il tente de désengager l'Italie de cette alliance désastreuse, mais échoue. S'il a toujours été hostile à la démocratie, il cesse alors d'être fasciste, opte pour un conservatisme autoritaire et s'oppose à Mussolini, ce que les hiérarques du régime ne lui pardonneront pas.
En 1939, il tente de désengager l'Italie de cette alliance désastreuse, mais échoue. S'il a toujours été hostile à la démocratie, il cesse alors d'être fasciste, opte pour un conservatisme autoritaire et s'oppose à Mussolini, ce que les hiérarques du régime ne lui pardonneront pas.
