Chroniques de San Francisco Tome 1 - Occasion

Par : Armistead Maupin

Disponible d'occasion :Article d'occasion contrôlé par nos équipes

    • Nombre de pages381
    • PrésentationBroché
    • FormatPoche
    • Poids0.255 kg
    • Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 2,3 cm
    • ISBN2-264-02995-1
    • EAN9782264029959
    • Date de parution02/03/2000
    • CollectionDomaine étranger
    • Éditeur10/18

    Résumé

    Les seventies sont sur le déclin, mais San Francisco, la fureur au coeur et au corps, vibre encore d'une énergie contestataire. La libération sexuelle est consommée et s'affiche dans les rues aux couleurs d'enseignes et de néons tapageurs. Tout droit venue de Cleveland, Mary Ann Singleton, vingt-cinq ans, emprunte pour la première fois les pentes du " beau volcan ". Elle plante son camp au 28 Barbary Lane, un refuge pour " chats errants ".
    Logeuse compréhensive et libérale, Mme Madrigal règne en matriarche sur le vieux bâtiment qui abrite une poignée de célibataires : Mona, rédactrice publicitaire, son colocataire Michael, chômeur et disciple de " l'amour interdit " et le beau Brian Hawkins, coureur de jupons insatiable. Les héros de cette tribu enchantée ont fait le bonheur de millions de lecteurs dans le monde entier, au fil des six volumes de cette saga.
    Les seventies sont sur le déclin, mais San Francisco, la fureur au coeur et au corps, vibre encore d'une énergie contestataire. La libération sexuelle est consommée et s'affiche dans les rues aux couleurs d'enseignes et de néons tapageurs. Tout droit venue de Cleveland, Mary Ann Singleton, vingt-cinq ans, emprunte pour la première fois les pentes du " beau volcan ". Elle plante son camp au 28 Barbary Lane, un refuge pour " chats errants ".
    Logeuse compréhensive et libérale, Mme Madrigal règne en matriarche sur le vieux bâtiment qui abrite une poignée de célibataires : Mona, rédactrice publicitaire, son colocataire Michael, chômeur et disciple de " l'amour interdit " et le beau Brian Hawkins, coureur de jupons insatiable. Les héros de cette tribu enchantée ont fait le bonheur de millions de lecteurs dans le monde entier, au fil des six volumes de cette saga.

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    Commentaires laissés par les libraires

    2 Coups de cœur
    de nos libraires
    Cultissime
    L'ensemble de la série est une plongée dans la société américaine ... Le tome 1 décrit l'arrivée de Mary Ann à San Francisco, alors qu'elle débarque de son Cleveland rural natal. C'est le choc pour elle, qui se retrouve locataire d'un appartement dans une maison partagée avec la propriétaire qui fait pousser la marijuana dans le jardin, et Michael Tolliver qui a du mal à trouver son chemin dans la vie, et l'homme avec qui la passer. D'autres personnages attachant viennent compléter cette belle famille, et on est happé par leurs aventures, leurs rencontres, leurs amours, ... Un roman culte.
    L'ensemble de la série est une plongée dans la société américaine ... Le tome 1 décrit l'arrivée de Mary Ann à San Francisco, alors qu'elle débarque de son Cleveland rural natal. C'est le choc pour elle, qui se retrouve locataire d'un appartement dans une maison partagée avec la propriétaire qui fait pousser la marijuana dans le jardin, et Michael Tolliver qui a du mal à trouver son chemin dans la vie, et l'homme avec qui la passer. D'autres personnages attachant viennent compléter cette belle famille, et on est happé par leurs aventures, leurs rencontres, leurs amours, ... Un roman culte.
    • San Francisco
    • culte
    • sociologie
    • sexualité
    • 70's
    • Barbary Lane
    • Mona Ramsey
    • Tales of the city
    LaurentDecitre Part-Dieu
    4/5
    Happy Seventies
    La vie semblait tellement facile, futile dans ces années là. Armistead Maupin nous en livre toute la nostalgie dans ces chroniques drôles, aux personnages si attachant. Le découpage en petits chapitres entremèle le destin des habitants de Barbary Lane à la façon d'un soap-opéra (mais en plus chic !)
    La vie semblait tellement facile, futile dans ces années là. Armistead Maupin nous en livre toute la nostalgie dans ces chroniques drôles, aux personnages si attachant. Le découpage en petits chapitres entremèle le destin des habitants de Barbary Lane à la façon d'un soap-opéra (mais en plus chic !)
    • Drôle
    • XXe siècle
    • San Francisco
    • Mary Ann
    • Anna Madrigal
    • Michael Tolliver

    Avis des lecteurs
    Commentaires laissés par nos lecteurs

    4.3/5
    sur 60 notes dont 3 avis lecteurs
    3/5
    Chroniques de San Francisco
    Etonnant et farfelu, le premier roman de la série des chroniques de San Francisco se laisse lire et apprécier facilement à travers des dialogues fins et savoureux. Une écriture fraiche et claire qui présente des personnages souvent caricaturaux mais au final plutôt attachants. Une lecture sympathique qui nous plonge dans la culture pop américaine des années 70. Un divertissement agréable. http://art-enciel.over-blog.com/chroniques-de-san-francisco-d-armistead-maupin-tome-1
    Etonnant et farfelu, le premier roman de la série des chroniques de San Francisco se laisse lire et apprécier facilement à travers des dialogues fins et savoureux. Une écriture fraiche et claire qui présente des personnages souvent caricaturaux mais au final plutôt attachants. Une lecture sympathique qui nous plonge dans la culture pop américaine des années 70. Un divertissement agréable. http://art-enciel.over-blog.com/chroniques-de-san-francisco-d-armistead-maupin-tome-1
    • San Francisco
    • Surprenant
    Une plongée dans le San Francisco des 70's
    Les Chroniques de San Francisco sont à l'origine des chroniques quotidiennes publiées par l'écrivain américain Armistead Maupin dans le San Francisco Chronicle en 1976. Gagnées par un succès immédiat, elles ont été rassemblées en six volumes et ont fait l'objet d'une adaptation télévisée. Un septième opus, paru en 2011 aux éditions de l'Olivier, est venu clore la série. San Francisco, 1976. Mary Ann a vingt-cinq ans lorsqu'elle décide d'y poser ses valises. Pour la jeune fille de l'Ohio, San Francisco s'apparente à un monde délicieux où tout est permis. Elle trouve refuge au 28 Barbary Lane, dans la pension de la gentiment excentrique Mme Madrigal. En guise d'accueil, un joint scotché sur sa porte. Et un monde nouveau qui s'ouvre devant elle. Longtemps, la littérature américaine m'a laissée de marbre. Comme si le fait que les États-Unis aient une telle influence sur le monde et que nous soyons tant abreuvés par leur culture m'avait lassée et détournée de leur littérature avant même que je ne m'y intéresse. Mais ces derniers temps, j'ai décidé qu'il était temps de découvrir un peu ce que les écrivains américains avaient à nous offrir. Débuter par Les Chroniques de San Francisco m'est apparu comme une bonne idée. Et je ne me suis pas trompée ! Mais je me rends compte qu'il n'est pas aisé de chroniquer un livre qui a fait tant d'émules avant moi... Je me lance quand même ! Si j'appréhendais la forme de ce recueil - le feuilleton - j'ai été agréablement surprise par la dynamique qu'elle offre à l'intrigue. Chaque chapitre est l'occasion d'un focus sur un personnage en particulier, personnage pris comme il se doit dans les affres de sa solitude et les méandres de son existence. Il y a Mary Ann, certes, mais aussi sa maternelle logeuse, Mme Madrigal, au passé trouble, Mona, publicitaire paumée qui partage son appartement de Barbary Lane avec Michael, jeune homosexuel en quête de l'âme soeur, Brian, charmant serveur un peu trop entreprenant, Norman, vendeur en vitamines taciturne. Et puis il y a ceux qui n'habitent pas dans cette auberge espagnole chaleureuse qu'est la pension de Mme Madrigal : Edgar Halcyon, directeur d'une grande entreprise, Dede, sa fille, et son infidèle de mari Beauchamp, etc. Tout ce petit monde évolue et se cherche dans un San Francisco en pleine effervescence. Ce premier tome se lit très rapidement. Chaque personnage tisse autour de lui une intrigue qui lui est propre et qui trouve au fil des pages des ramifications avec d'autres protagonistes. Armistead Maupin réussit le tour de force de ne pas lasser son lecteur avec ces feuilletons quotidiens rassemblés dans ce premier tome. Si chaque chapitre est assez court, il n'en demeure pas moins qu'il offre une avancée indéniable à l'intrigue et des rebondissements très intéressants à cette dernière. Et moi qui étais sceptique, j'ai été conquise. C'est dire...
    Les Chroniques de San Francisco sont à l'origine des chroniques quotidiennes publiées par l'écrivain américain Armistead Maupin dans le San Francisco Chronicle en 1976. Gagnées par un succès immédiat, elles ont été rassemblées en six volumes et ont fait l'objet d'une adaptation télévisée. Un septième opus, paru en 2011 aux éditions de l'Olivier, est venu clore la série. San Francisco, 1976. Mary Ann a vingt-cinq ans lorsqu'elle décide d'y poser ses valises. Pour la jeune fille de l'Ohio, San Francisco s'apparente à un monde délicieux où tout est permis. Elle trouve refuge au 28 Barbary Lane, dans la pension de la gentiment excentrique Mme Madrigal. En guise d'accueil, un joint scotché sur sa porte. Et un monde nouveau qui s'ouvre devant elle. Longtemps, la littérature américaine m'a laissée de marbre. Comme si le fait que les États-Unis aient une telle influence sur le monde et que nous soyons tant abreuvés par leur culture m'avait lassée et détournée de leur littérature avant même que je ne m'y intéresse. Mais ces derniers temps, j'ai décidé qu'il était temps de découvrir un peu ce que les écrivains américains avaient à nous offrir. Débuter par Les Chroniques de San Francisco m'est apparu comme une bonne idée. Et je ne me suis pas trompée ! Mais je me rends compte qu'il n'est pas aisé de chroniquer un livre qui a fait tant d'émules avant moi... Je me lance quand même ! Si j'appréhendais la forme de ce recueil - le feuilleton - j'ai été agréablement surprise par la dynamique qu'elle offre à l'intrigue. Chaque chapitre est l'occasion d'un focus sur un personnage en particulier, personnage pris comme il se doit dans les affres de sa solitude et les méandres de son existence. Il y a Mary Ann, certes, mais aussi sa maternelle logeuse, Mme Madrigal, au passé trouble, Mona, publicitaire paumée qui partage son appartement de Barbary Lane avec Michael, jeune homosexuel en quête de l'âme soeur, Brian, charmant serveur un peu trop entreprenant, Norman, vendeur en vitamines taciturne. Et puis il y a ceux qui n'habitent pas dans cette auberge espagnole chaleureuse qu'est la pension de Mme Madrigal : Edgar Halcyon, directeur d'une grande entreprise, Dede, sa fille, et son infidèle de mari Beauchamp, etc. Tout ce petit monde évolue et se cherche dans un San Francisco en pleine effervescence. Ce premier tome se lit très rapidement. Chaque personnage tisse autour de lui une intrigue qui lui est propre et qui trouve au fil des pages des ramifications avec d'autres protagonistes. Armistead Maupin réussit le tour de force de ne pas lasser son lecteur avec ces feuilletons quotidiens rassemblés dans ce premier tome. Si chaque chapitre est assez court, il n'en demeure pas moins qu'il offre une avancée indéniable à l'intrigue et des rebondissements très intéressants à cette dernière. Et moi qui étais sceptique, j'ai été conquise. C'est dire...
    • Drôle
    • XXe siècle
    • Amour
    • San Francisco
    • Mary Ann
    • Anna Madrigal
    • drogue
    • chroniques
    • quotidien
    • 70's
    • Roman culte
    5/5
    J’ai adoré ! Les personnages sont très vite attachants ou détestables, l’humour et omniprésent, le contexte intéressant. L’auteur nous dépeint toute une époque, où les mœurs finissaient d’être libérées, où la sexualité n’était plus un tabou pour grand monde. On y parle de drogue, d’homosexualité, de mort, etc. L’histoire est constituée de très courts chapitres, c’est très rythmé et on passe d’un personnage à l’autre avec délectation. D’abord marrant et dynamique, le propos devient plutôt glauque, mais juste ce qu’il faut. Les rapports humains sont le cœur du sujet, les situations vont du sordide à l’insolite, de l’émouvant au révoltant. C’est riche, foisonnant, mystérieux, le découpage fait penser à une série américaine l’intelligence en plus. Merci à Valériane de m’avoir donné l’occasion de découvrir cette série que j’espère terminer cette année !
    J’ai adoré ! Les personnages sont très vite attachants ou détestables, l’humour et omniprésent, le contexte intéressant. L’auteur nous dépeint toute une époque, où les mœurs finissaient d’être libérées, où la sexualité n’était plus un tabou pour grand monde. On y parle de drogue, d’homosexualité, de mort, etc. L’histoire est constituée de très courts chapitres, c’est très rythmé et on passe d’un personnage à l’autre avec délectation. D’abord marrant et dynamique, le propos devient plutôt glauque, mais juste ce qu’il faut. Les rapports humains sont le cœur du sujet, les situations vont du sordide à l’insolite, de l’émouvant au révoltant. C’est riche, foisonnant, mystérieux, le découpage fait penser à une série américaine l’intelligence en plus. Merci à Valériane de m’avoir donné l’occasion de découvrir cette série que j’espère terminer cette année !
    • Drôle
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