Chroniques de la guerre civile. Août 1936 - septembre 1939
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- Poids0.35 kg
- Dimensions13,5 cm × 22,0 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-7103-7043-7
- EAN9782710370437
- Date de parution30/10/2014
- ÉditeurQuai Voltaire
- TraducteurCatherine Vasseur
- PréfacierSantos Julia
Résumé
D'abord depuis Madrid, puis depuis l'exil auquel l'ont forcé les événements, le journaliste Manuel Chaves Nogales a rendu compte sans relâche, et au-delà même de son terme, en avril 1939, de l'évolution de la guerre d'Espagne et de ses conséquences dans de multiples journaux français, anglais, nord-américains et sud-américains. Au fil du temps et des articles se déploie une analyse de plus en plus internationalisée du conflit, à travers laquelle se dessine la guerre mondiale à venir.
Témoin lucide, Chaves exerce ce rôle de vigie sans cesser de tenir à distance le drame personnel qui se joue pour lui en Espagne, où il ne remettra jamais les pieds.
Témoin lucide, Chaves exerce ce rôle de vigie sans cesser de tenir à distance le drame personnel qui se joue pour lui en Espagne, où il ne remettra jamais les pieds.
D'abord depuis Madrid, puis depuis l'exil auquel l'ont forcé les événements, le journaliste Manuel Chaves Nogales a rendu compte sans relâche, et au-delà même de son terme, en avril 1939, de l'évolution de la guerre d'Espagne et de ses conséquences dans de multiples journaux français, anglais, nord-américains et sud-américains. Au fil du temps et des articles se déploie une analyse de plus en plus internationalisée du conflit, à travers laquelle se dessine la guerre mondiale à venir.
Témoin lucide, Chaves exerce ce rôle de vigie sans cesser de tenir à distance le drame personnel qui se joue pour lui en Espagne, où il ne remettra jamais les pieds.
Témoin lucide, Chaves exerce ce rôle de vigie sans cesser de tenir à distance le drame personnel qui se joue pour lui en Espagne, où il ne remettra jamais les pieds.