Voici, vécue au quotidien, une chronique de la vie artistique
des années 1960 : une période des plus fertile dans la
constitution d'un nouvel art contemporain. En plus des grands
mouvements qui agitent alors la scène parisienne et
internationale, des personnalités singulières inventent des
modes d'intervention qui ont donné un soubassement aux
prises de position des acteurs de Mai 68. Cette époque a un
sens aigu des mutations culturelles.
L'apparition de nouveaux
modes d'expression, tels que le "happening", "l'installation" ou
"l'art corporel" en témoigne. La vie artistique à Paris, durant
cette période où les artistes affirment encore des ambitions
avant-gardistes, continue à drainer une importante population
culturelle étrangère. Témoin oculaire de ces événements, Anne
Tronche rend compte de cette époque mouvementée qui
apparaît comme celle qui inventa notre société.
Plutôt que de
reconstituer l'historique des tendances, elle a préféré recourir à
sa mémoire des faits et proposer dans cet ouvrage un mode de
lecture des oeuvres qui revendique la subjectivité du point de
vue et affirme l'engagement du critique d'art.
Voici, vécue au quotidien, une chronique de la vie artistique
des années 1960 : une période des plus fertile dans la
constitution d'un nouvel art contemporain. En plus des grands
mouvements qui agitent alors la scène parisienne et
internationale, des personnalités singulières inventent des
modes d'intervention qui ont donné un soubassement aux
prises de position des acteurs de Mai 68. Cette époque a un
sens aigu des mutations culturelles.
L'apparition de nouveaux
modes d'expression, tels que le "happening", "l'installation" ou
"l'art corporel" en témoigne. La vie artistique à Paris, durant
cette période où les artistes affirment encore des ambitions
avant-gardistes, continue à drainer une importante population
culturelle étrangère. Témoin oculaire de ces événements, Anne
Tronche rend compte de cette époque mouvementée qui
apparaît comme celle qui inventa notre société.
Plutôt que de
reconstituer l'historique des tendances, elle a préféré recourir à
sa mémoire des faits et proposer dans cet ouvrage un mode de
lecture des oeuvres qui revendique la subjectivité du point de
vue et affirme l'engagement du critique d'art.