Chrétiens, juifs et musulmans dans al-Andalus. Mythes et réalités de l'Espagne islamique

Par : Dario Fernandez-Morera
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  • Nombre de pages366
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.582 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-86553-310-7
  • EAN9782865533107
  • Date de parution17/09/2020
  • ÉditeurGodefroy (Jean-Cyrille)
  • PréfacierRémi Brague
  • TraducteurJulien Funnaro

Résumé

Universitaires, journalistes et hommes politiques, tous nous présentent "A l-Andalus" , l'Espagne sous domination musulmane, comme un paradis multiculturel où musulmans, chrétiens et juifs vivaient en harmonie. C e conte de fées est un mythe. Dans Le mensonge d'al-Andalus, un ouvrage décapant, l'historien Darío Fernández-Morera révèle la réalité de l' "Espagne arabo-musulmane" , à partir de sources volontairement ignorées et de récentes découvertes archéologiques.
Ce prétendu paradis de la coexistence heureuse a commencé avec la conquête de l'Espagne par le califat islamique. L es armées de l'islam, composées de Berbères incultes, détruisirent un Royaume Visigoth qui avait conservé l'héritage de la culture classique après la chute de l'Empire romain d'occident, et dont le niveau de civilisation était largement supérieur. Loin d'être un espace de tolérance, l' "Espagne musulmane" fut le lieu d'une régression culturelle dans tous les domaines de la vie.
Chrétiens et juifs y furent marginalisés et opprimés par des autocrates religieux. Considérés comme subalternes dans une société hiérarchisée, ils furent réduits au rang de dhimmis, et eurent le choix que les gangsters donnent à leurs victimes : payer pour être protégés, ou disparaître. Tandis que politiciens et idéologues continuent de célébrer l' "Espagne musulmane" pour son "multiculturalisme" et sa "diversité" , Darío Fernández-Morera montre que cette construction politiquement utile est une falsification de l'histoire.
Universitaires, journalistes et hommes politiques, tous nous présentent "A l-Andalus" , l'Espagne sous domination musulmane, comme un paradis multiculturel où musulmans, chrétiens et juifs vivaient en harmonie. C e conte de fées est un mythe. Dans Le mensonge d'al-Andalus, un ouvrage décapant, l'historien Darío Fernández-Morera révèle la réalité de l' "Espagne arabo-musulmane" , à partir de sources volontairement ignorées et de récentes découvertes archéologiques.
Ce prétendu paradis de la coexistence heureuse a commencé avec la conquête de l'Espagne par le califat islamique. L es armées de l'islam, composées de Berbères incultes, détruisirent un Royaume Visigoth qui avait conservé l'héritage de la culture classique après la chute de l'Empire romain d'occident, et dont le niveau de civilisation était largement supérieur. Loin d'être un espace de tolérance, l' "Espagne musulmane" fut le lieu d'une régression culturelle dans tous les domaines de la vie.
Chrétiens et juifs y furent marginalisés et opprimés par des autocrates religieux. Considérés comme subalternes dans une société hiérarchisée, ils furent réduits au rang de dhimmis, et eurent le choix que les gangsters donnent à leurs victimes : payer pour être protégés, ou disparaître. Tandis que politiciens et idéologues continuent de célébrer l' "Espagne musulmane" pour son "multiculturalisme" et sa "diversité" , Darío Fernández-Morera montre que cette construction politiquement utile est une falsification de l'histoire.