Chevaliers et chevalerie au Moyen Age

Par : Jean Flori

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  • Nombre de pages301
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.235 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-01-279463-4
  • EAN9782012794634
  • Date de parution20/08/2008
  • CollectionPluriel
  • ÉditeurHachette Littératures

Résumé

La chevalerie, c'est d'abord une image, celle de nobles héros aux armures étincelantes, brandissant des bannières aux couleurs chatoyantes pour se jeter, la lance ou l'épée au poing, au secours de l'affligé, de la veuve et de l'orphelin. La réalité est plus complexe et l'évolution plus chaotique. Le mot " chevalier " est d'ailleurs ambigu et plus encore la notion de " chevalerie ". C'est le renforcement de la cavalerie lourde qui lui donne son impulsion entre le IXe et le XIe siècle. Mais, il faut attendre le XIIe siècle pour que la chevalerie s'affirme, avec la généralisation de la charge à la lance couchée. Elle se donne alors un code déontologique, fondé sur l'honneur, qui va " humaniser " quelque peu les " lois de la guerre ". Dans le même temps, l'Eglise tente de lui assigner une mission et une éthique conformes à sa cause. Ainsi s'ébauchent, du XIe au XIIIe siècle, les traits essentiels d'une chevalerie qui se mue peu à peu en confrérie d'élite de la noblesse.
La chevalerie, c'est d'abord une image, celle de nobles héros aux armures étincelantes, brandissant des bannières aux couleurs chatoyantes pour se jeter, la lance ou l'épée au poing, au secours de l'affligé, de la veuve et de l'orphelin. La réalité est plus complexe et l'évolution plus chaotique. Le mot " chevalier " est d'ailleurs ambigu et plus encore la notion de " chevalerie ". C'est le renforcement de la cavalerie lourde qui lui donne son impulsion entre le IXe et le XIe siècle. Mais, il faut attendre le XIIe siècle pour que la chevalerie s'affirme, avec la généralisation de la charge à la lance couchée. Elle se donne alors un code déontologique, fondé sur l'honneur, qui va " humaniser " quelque peu les " lois de la guerre ". Dans le même temps, l'Eglise tente de lui assigner une mission et une éthique conformes à sa cause. Ainsi s'ébauchent, du XIe au XIIIe siècle, les traits essentiels d'une chevalerie qui se mue peu à peu en confrérie d'élite de la noblesse.
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