Chefs-d'oeuvre de la marqueterie sous la Renaissance italienne
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Nombre de pages253
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids2.442 kg
- Dimensions28,5 cm × 32,5 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-7541-0560-6
- EAN9782754105606
- Date de parution26/10/2011
- ÉditeurHazan
- TraducteurJacques Bonnet
- PhotographeLuca Sassi
- PréfacierLoredana Olivato
Résumé
Remise en vente de cet ouvrage à 30e TTC au lieu de 65,95e TTC le 2 mars 2015. La grande aventure artistique de la Renaissance italienne entre XVe et XVIe siècle a connu un chapitre important et, cependant, méconnu : celui de la marqueterie. Ce phénomène artistique, extrêmement raffiné par sa technique et ses contenus culturels, a épousé l'évolution des arts majeurs, la peinture, la sculpture et l'architecture.
Elle en a suivi les développements théoriques ainsi que les spéculations intellectuelles. Un des maîtres les plus significatifs dans ce domaine était Fra' Giovanni da Verona, marqueteur, mais aussi architecte, enlumineur et sculpteur, parfaitement au courant des nouveautés artistiques de son époque. Le cycle admirable de Santa Maria in Organo à Vérone, que Vasari définit "la plus belle sacristie de toute l'Italie", est un exemple paradigmatique de la marqueterie à la Renaissance.
Il révèle un langage artistique maîtrisant entièrement la perspective et conscient des développements récents du savoir artistique et humaniste. On retrouve facilement certaines de ses formes géométriques dans le célèbre traité De Divina Proportione, rédigé à la même époque par le mathématicien Luca Pacioli. Entre autres exemples de liens étroits entre marqueterie et arts majeurs, on citera le plus célèbre des studiolo marquetés du Quattrocento : celui de Federico da Montefeltro à Urbino.
A l'époque, Urbino a été sans doute un des berceaux de la culture mathématicienne et artistique, où des artistes comme Piero della Francesca ou le cité Luca Pacioli purent pleinement s'exprimer. Une campagne photographique réalisée spécialement pour l'ouvrage magnifie les détails des marqueteries et leur extraordinaire complexité technique et artistique. Le livre se focalise sur le développement de cet art entre XVe et XVIe siècle, en parcourt les différentes déclinaisons régionales, de la Lombardie à la Vénétie jusqu'à Naples et à la Sicile, tout en pointant l'appartenance commune à un seul climat culturel et artistique cosmopolite : celui qui réunit tous les artistes de la Renaissance.
Elle en a suivi les développements théoriques ainsi que les spéculations intellectuelles. Un des maîtres les plus significatifs dans ce domaine était Fra' Giovanni da Verona, marqueteur, mais aussi architecte, enlumineur et sculpteur, parfaitement au courant des nouveautés artistiques de son époque. Le cycle admirable de Santa Maria in Organo à Vérone, que Vasari définit "la plus belle sacristie de toute l'Italie", est un exemple paradigmatique de la marqueterie à la Renaissance.
Il révèle un langage artistique maîtrisant entièrement la perspective et conscient des développements récents du savoir artistique et humaniste. On retrouve facilement certaines de ses formes géométriques dans le célèbre traité De Divina Proportione, rédigé à la même époque par le mathématicien Luca Pacioli. Entre autres exemples de liens étroits entre marqueterie et arts majeurs, on citera le plus célèbre des studiolo marquetés du Quattrocento : celui de Federico da Montefeltro à Urbino.
A l'époque, Urbino a été sans doute un des berceaux de la culture mathématicienne et artistique, où des artistes comme Piero della Francesca ou le cité Luca Pacioli purent pleinement s'exprimer. Une campagne photographique réalisée spécialement pour l'ouvrage magnifie les détails des marqueteries et leur extraordinaire complexité technique et artistique. Le livre se focalise sur le développement de cet art entre XVe et XVIe siècle, en parcourt les différentes déclinaisons régionales, de la Lombardie à la Vénétie jusqu'à Naples et à la Sicile, tout en pointant l'appartenance commune à un seul climat culturel et artistique cosmopolite : celui qui réunit tous les artistes de la Renaissance.
Remise en vente de cet ouvrage à 30e TTC au lieu de 65,95e TTC le 2 mars 2015. La grande aventure artistique de la Renaissance italienne entre XVe et XVIe siècle a connu un chapitre important et, cependant, méconnu : celui de la marqueterie. Ce phénomène artistique, extrêmement raffiné par sa technique et ses contenus culturels, a épousé l'évolution des arts majeurs, la peinture, la sculpture et l'architecture.
Elle en a suivi les développements théoriques ainsi que les spéculations intellectuelles. Un des maîtres les plus significatifs dans ce domaine était Fra' Giovanni da Verona, marqueteur, mais aussi architecte, enlumineur et sculpteur, parfaitement au courant des nouveautés artistiques de son époque. Le cycle admirable de Santa Maria in Organo à Vérone, que Vasari définit "la plus belle sacristie de toute l'Italie", est un exemple paradigmatique de la marqueterie à la Renaissance.
Il révèle un langage artistique maîtrisant entièrement la perspective et conscient des développements récents du savoir artistique et humaniste. On retrouve facilement certaines de ses formes géométriques dans le célèbre traité De Divina Proportione, rédigé à la même époque par le mathématicien Luca Pacioli. Entre autres exemples de liens étroits entre marqueterie et arts majeurs, on citera le plus célèbre des studiolo marquetés du Quattrocento : celui de Federico da Montefeltro à Urbino.
A l'époque, Urbino a été sans doute un des berceaux de la culture mathématicienne et artistique, où des artistes comme Piero della Francesca ou le cité Luca Pacioli purent pleinement s'exprimer. Une campagne photographique réalisée spécialement pour l'ouvrage magnifie les détails des marqueteries et leur extraordinaire complexité technique et artistique. Le livre se focalise sur le développement de cet art entre XVe et XVIe siècle, en parcourt les différentes déclinaisons régionales, de la Lombardie à la Vénétie jusqu'à Naples et à la Sicile, tout en pointant l'appartenance commune à un seul climat culturel et artistique cosmopolite : celui qui réunit tous les artistes de la Renaissance.
Elle en a suivi les développements théoriques ainsi que les spéculations intellectuelles. Un des maîtres les plus significatifs dans ce domaine était Fra' Giovanni da Verona, marqueteur, mais aussi architecte, enlumineur et sculpteur, parfaitement au courant des nouveautés artistiques de son époque. Le cycle admirable de Santa Maria in Organo à Vérone, que Vasari définit "la plus belle sacristie de toute l'Italie", est un exemple paradigmatique de la marqueterie à la Renaissance.
Il révèle un langage artistique maîtrisant entièrement la perspective et conscient des développements récents du savoir artistique et humaniste. On retrouve facilement certaines de ses formes géométriques dans le célèbre traité De Divina Proportione, rédigé à la même époque par le mathématicien Luca Pacioli. Entre autres exemples de liens étroits entre marqueterie et arts majeurs, on citera le plus célèbre des studiolo marquetés du Quattrocento : celui de Federico da Montefeltro à Urbino.
A l'époque, Urbino a été sans doute un des berceaux de la culture mathématicienne et artistique, où des artistes comme Piero della Francesca ou le cité Luca Pacioli purent pleinement s'exprimer. Une campagne photographique réalisée spécialement pour l'ouvrage magnifie les détails des marqueteries et leur extraordinaire complexité technique et artistique. Le livre se focalise sur le développement de cet art entre XVe et XVIe siècle, en parcourt les différentes déclinaisons régionales, de la Lombardie à la Vénétie jusqu'à Naples et à la Sicile, tout en pointant l'appartenance commune à un seul climat culturel et artistique cosmopolite : celui qui réunit tous les artistes de la Renaissance.