Chateaubriand, lequel ?

Par : Geoffroy de La Tour du Pin
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Nombre de pages224
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.147 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-7103-0838-X
  • EAN9782710308386
  • Date de parution06/06/1998
  • CollectionLa petite Vermillon
  • ÉditeurTable Ronde (La)

Résumé

Chateaubriand, c'est Combourg, un château à la Walter Scott où naîtra la vocation littéraire du jeune chevalier François-René. Si l'on en croit les Mémoires d'outre-tombe, un décor sinistre hanté par un père vieux, autoritaire et taciturne. Et pourtant, ce père, René-Auguste de Chateaubriand, noble ruiné, fut un aventurier des mers, un corsaire, un armateur, un héros de son temps. Descendant des Chateaubriand, Geoffroy de La Tour du Pin (1914-1971) redonne ses lettres de noblesse à ce père que son fils dévora pour devenir l'un des plus grands écrivains français.
Il évoque le sentiment aristocratique sous l'Ancien Régime, revisite la panoplie et la généalogie littéraires des Mémoires d'outre-tombe. Enfin, il rend hommage à ces Messieurs de Combourg.
Chateaubriand, c'est Combourg, un château à la Walter Scott où naîtra la vocation littéraire du jeune chevalier François-René. Si l'on en croit les Mémoires d'outre-tombe, un décor sinistre hanté par un père vieux, autoritaire et taciturne. Et pourtant, ce père, René-Auguste de Chateaubriand, noble ruiné, fut un aventurier des mers, un corsaire, un armateur, un héros de son temps. Descendant des Chateaubriand, Geoffroy de La Tour du Pin (1914-1971) redonne ses lettres de noblesse à ce père que son fils dévora pour devenir l'un des plus grands écrivains français.
Il évoque le sentiment aristocratique sous l'Ancien Régime, revisite la panoplie et la généalogie littéraires des Mémoires d'outre-tombe. Enfin, il rend hommage à ces Messieurs de Combourg.