Chaos sur la banquise. Tentative de la traversée intégrale de l'océan Arctique

Par : Alain Hubert

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  • Nombre de pages247
  • PrésentationBroché
  • Poids0.535 kg
  • Dimensions17,0 cm × 22,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-8040-1718-4
  • EAN9782804017187
  • Date de parution01/01/2002
  • ÉditeurLabor Editions

Résumé

Base sur la forme d'un récit à deux voix, ce livre raconte la tentative de la plus longue traversée de l'océan Arctique jamais entreprise. Deux mois passes à progresser au travers d'un enfer de glaces chaotiques et sur une banquise dont l'épaisseur diminue chaque année en raison du réchauffement climatique global. Aux prises avec les dangers de la grande aventure, Alain et Dixie doivent faire face aux ours polaires qui surgissant parfois comme des diables de derrière une haute crête de compression ou bien s'approchant de loin, menaçants, viennent renifles les traîneaux et donner une sainte frousse aux deux aventuriers. A côté de ces monstres terrifiants. les hommes doivent chaque jour et 7 à 8 heures durant, négocier presque chaque pas tant la surface sur laquelle ils progressent est instable. Ils tombent dans des trous d'eau qu'une fine couche de neige fraîche a masqués ; ils passent plusieurs fois au travers de la glace entraînes par la charge du traîneau et tombent dans l'océan glacé ; ils voyagent sans cesse aux limites du possible physique et mental. Et de temps à autre, ils craquent nerveusement Chaque soir, comme un moment de délivrance, ils entrent en contact satellite avec le QG à Bruxelles. Après 68 jours d'insoutenables souffrances, Alain et Dixie se rendent a l'évidence ; ils ne progressent pas assez vite pour réaliser leur objectif et plus personne ne sera capable de les récupérer s'ils s'entêtent à continuer leur marche malgré tout. Sur les 2 350 km prévus, ils n'en couvrent en fait que 483. Un abandon peut-être, mais également une étonnante manière de prouver que le fait daller au bout de soi-même peut aussi se faire l'écho d'une autre victoire...
Base sur la forme d'un récit à deux voix, ce livre raconte la tentative de la plus longue traversée de l'océan Arctique jamais entreprise. Deux mois passes à progresser au travers d'un enfer de glaces chaotiques et sur une banquise dont l'épaisseur diminue chaque année en raison du réchauffement climatique global. Aux prises avec les dangers de la grande aventure, Alain et Dixie doivent faire face aux ours polaires qui surgissant parfois comme des diables de derrière une haute crête de compression ou bien s'approchant de loin, menaçants, viennent renifles les traîneaux et donner une sainte frousse aux deux aventuriers. A côté de ces monstres terrifiants. les hommes doivent chaque jour et 7 à 8 heures durant, négocier presque chaque pas tant la surface sur laquelle ils progressent est instable. Ils tombent dans des trous d'eau qu'une fine couche de neige fraîche a masqués ; ils passent plusieurs fois au travers de la glace entraînes par la charge du traîneau et tombent dans l'océan glacé ; ils voyagent sans cesse aux limites du possible physique et mental. Et de temps à autre, ils craquent nerveusement Chaque soir, comme un moment de délivrance, ils entrent en contact satellite avec le QG à Bruxelles. Après 68 jours d'insoutenables souffrances, Alain et Dixie se rendent a l'évidence ; ils ne progressent pas assez vite pour réaliser leur objectif et plus personne ne sera capable de les récupérer s'ils s'entêtent à continuer leur marche malgré tout. Sur les 2 350 km prévus, ils n'en couvrent en fait que 483. Un abandon peut-être, mais également une étonnante manière de prouver que le fait daller au bout de soi-même peut aussi se faire l'écho d'une autre victoire...