Chants traditionnels du pays soninké. Mauritanie, Mali, Sénégal
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- Nombre de pages270
- PrésentationBroché
- Poids0.448 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN2-7384-0825-7
- EAN9782738408259
- Date de parution03/05/2000
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La tradition orale et les travaux qui s'en inspirent nous parlent des Soninké comme d'un peuple fondateur d'un grand empire, le Wagadou-Ghana. Ce peuple est condamné à l'errance après le meurtre de Blida, le python mythique dont il était l'adorateur. Cette errance se perpétue comme si le pouvoir maléfique du Dieu serpent continuait de s'exercer, de Mauritanie jusqu'en Côte-d'Ivoire aussi bien qu'en France.
L'errance se donne dans le voyage comme dans la recherche du savoir islamique ou, a contrario, la fidélité aux sources et à la parole mythique qui hante l'imaginaire des Soninké. L'ouvrage de O.M. Diagana nous met, pour la première fois, à l'écoute de cette parole, nous proposant par ensembles, quasi complets les temps forts du rituel, des cérémonies (chants nuptiaux, chants de circoncision...). Anonymes pour la plupart, nourris d'une veine poétique féminine, ces chants, fixés par l'écrit, cheminent dans les sables mouvants et érosifs de la mémoire collective.
L'errance se donne dans le voyage comme dans la recherche du savoir islamique ou, a contrario, la fidélité aux sources et à la parole mythique qui hante l'imaginaire des Soninké. L'ouvrage de O.M. Diagana nous met, pour la première fois, à l'écoute de cette parole, nous proposant par ensembles, quasi complets les temps forts du rituel, des cérémonies (chants nuptiaux, chants de circoncision...). Anonymes pour la plupart, nourris d'une veine poétique féminine, ces chants, fixés par l'écrit, cheminent dans les sables mouvants et érosifs de la mémoire collective.
La tradition orale et les travaux qui s'en inspirent nous parlent des Soninké comme d'un peuple fondateur d'un grand empire, le Wagadou-Ghana. Ce peuple est condamné à l'errance après le meurtre de Blida, le python mythique dont il était l'adorateur. Cette errance se perpétue comme si le pouvoir maléfique du Dieu serpent continuait de s'exercer, de Mauritanie jusqu'en Côte-d'Ivoire aussi bien qu'en France.
L'errance se donne dans le voyage comme dans la recherche du savoir islamique ou, a contrario, la fidélité aux sources et à la parole mythique qui hante l'imaginaire des Soninké. L'ouvrage de O.M. Diagana nous met, pour la première fois, à l'écoute de cette parole, nous proposant par ensembles, quasi complets les temps forts du rituel, des cérémonies (chants nuptiaux, chants de circoncision...). Anonymes pour la plupart, nourris d'une veine poétique féminine, ces chants, fixés par l'écrit, cheminent dans les sables mouvants et érosifs de la mémoire collective.
L'errance se donne dans le voyage comme dans la recherche du savoir islamique ou, a contrario, la fidélité aux sources et à la parole mythique qui hante l'imaginaire des Soninké. L'ouvrage de O.M. Diagana nous met, pour la première fois, à l'écoute de cette parole, nous proposant par ensembles, quasi complets les temps forts du rituel, des cérémonies (chants nuptiaux, chants de circoncision...). Anonymes pour la plupart, nourris d'une veine poétique féminine, ces chants, fixés par l'écrit, cheminent dans les sables mouvants et érosifs de la mémoire collective.