Ceux qui reviennent. Quitter Paris revenir vivre dans son territoire d'origine
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- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.322 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-228-93772-6
- EAN9782228937726
- Date de parution15/01/2025
- ÉditeurPayot
Résumé
Qu'est-ce que ça veut dire : être de quelque part ? Pourquoi certains Français font-ils, de plus en plus, le choix du retour dans leurs terres ? Que cela dit-il de nous, Français ? Après avoir vécu douze ans à Paris, y avoir travaillé, eu deux filles et rencontré certains de ses amis les plus chers, Pauline Rochart est retournée vivre dans le Nord de la France, à vingt kilomètres de son village natal.
Et elle n'est pas la seule à faire ce choix. Rentrer, c'est renouer avec celles et ceux qui sont restés, qui ne partagent pas forcément notre rapport au travail, nos opinions... Et si ceux qui reviennent étaient les mieux placés pour penser ce qui nous lie plutôt que ce qui nous oppose ?
Et elle n'est pas la seule à faire ce choix. Rentrer, c'est renouer avec celles et ceux qui sont restés, qui ne partagent pas forcément notre rapport au travail, nos opinions... Et si ceux qui reviennent étaient les mieux placés pour penser ce qui nous lie plutôt que ce qui nous oppose ?
Qu'est-ce que ça veut dire : être de quelque part ? Pourquoi certains Français font-ils, de plus en plus, le choix du retour dans leurs terres ? Que cela dit-il de nous, Français ? Après avoir vécu douze ans à Paris, y avoir travaillé, eu deux filles et rencontré certains de ses amis les plus chers, Pauline Rochart est retournée vivre dans le Nord de la France, à vingt kilomètres de son village natal.
Et elle n'est pas la seule à faire ce choix. Rentrer, c'est renouer avec celles et ceux qui sont restés, qui ne partagent pas forcément notre rapport au travail, nos opinions... Et si ceux qui reviennent étaient les mieux placés pour penser ce qui nous lie plutôt que ce qui nous oppose ?
Et elle n'est pas la seule à faire ce choix. Rentrer, c'est renouer avec celles et ceux qui sont restés, qui ne partagent pas forcément notre rapport au travail, nos opinions... Et si ceux qui reviennent étaient les mieux placés pour penser ce qui nous lie plutôt que ce qui nous oppose ?