Cette maison me rendra folle

Par : Joëlle Goron
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  • Nombre de pages274
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.27 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,9 cm
  • ISBN2-08-067258-4
  • EAN9782080672582
  • Date de parution16/02/2000
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Joëlle et Eric, son mari, sont deux vrais fous de maisons. Ils ont le virus. Après la bâtisse en banlieue et la fermette normande, la fièvre ne les lâche pas. Ils se lancent dans un projet insensé : construire de A à Z, sur un terrain pentu de la côte de l'Esterel, ce qui sera la Maison de leurs rêves. Alors les ennuis commencent. Magazines de déco trompeurs, maisons-témoins sinistres, devis contradictoires, architectes illuminés ou têtus, entrepreneur dépressif, maçon jouant la fille de l'air avant le " hors d'eau "... rien ne leur est épargné. Faut-il ou non une piscine ? Doit-on échanger cacahuètes et apéritif avec des voisins ? A quoi sert-il de hanter les " vide-greniers " ? Plus proche de Laurel et Hardy que de Le Corbusier, le couple se pose, entre autres, ces questions existentielles. Son histoire, confondue avec celle d'une maison improbable, rejoint le " fantasme manoir " de tout le monde. Elle est triste à pleurer de rire.
Joëlle et Eric, son mari, sont deux vrais fous de maisons. Ils ont le virus. Après la bâtisse en banlieue et la fermette normande, la fièvre ne les lâche pas. Ils se lancent dans un projet insensé : construire de A à Z, sur un terrain pentu de la côte de l'Esterel, ce qui sera la Maison de leurs rêves. Alors les ennuis commencent. Magazines de déco trompeurs, maisons-témoins sinistres, devis contradictoires, architectes illuminés ou têtus, entrepreneur dépressif, maçon jouant la fille de l'air avant le " hors d'eau "... rien ne leur est épargné. Faut-il ou non une piscine ? Doit-on échanger cacahuètes et apéritif avec des voisins ? A quoi sert-il de hanter les " vide-greniers " ? Plus proche de Laurel et Hardy que de Le Corbusier, le couple se pose, entre autres, ces questions existentielles. Son histoire, confondue avec celle d'une maison improbable, rejoint le " fantasme manoir " de tout le monde. Elle est triste à pleurer de rire.