Ces mots qui meurent. Les langues menacées et ce qu'elles ont à nous dire

Par : Nicholas Evans

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  • Nombre de pages389
  • PrésentationBroché
  • Poids0.723 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-7071-6884-9
  • EAN9782707168849
  • Date de parution13/09/2012
  • ÉditeurLa Découverte
  • TraducteurMarc Saint-Upéry

Résumé

La disparition des langues est une constante de l’histoire humaine, mais son rythme s’accélère : d’ici la fin du XXIe siècle, c’est la moitié des 6 000 langues de la planète que nous risquons de voir s’éteindre. Tous les quinze jours, le dernier locuteur d’une langue en voie d’extinction meurt. Or chaque langue a une histoire différente à nous raconter. Chacune est une véritable bibliothèque aux rayons chargés de grammaires, de dictionnaires, d’encyclopédies botaniques et zoologiques, de recueils de chants et de fables… Le livre s’ouvre sur des portraits, donnant d’emblée à l’ouvrage sa tonalité : très humaine et accessible, en dépit de sa grande rigueur scientifique.
Les deux premières parties définissent la diversité linguistique, rappelant l’historique de l’intérêt occidental pour les langues du monde. Dans la troisième partie, l’auteur s’intéresse à l’intérêt scientifique de la diversité linguistique. Il indique concrètement et clairement ce que les langues menacées peuvent nous apprendre : sur l’histoire des migrations, des technologies, des religions, de la pensée.
Il explique aussi, avec des mots simples, comment les linguistes s’y prennent pour arriver à leurs conclusions, comment ils croisent leurs savoirs avec d’autres scientifiques (généticiens, archéologues, etc.). La quatrième partie aborde les notions de diversités conceptuelle, culturelle et artistique. Elle montre en quoi la diversité linguistique peut engendrer des modèles intellectuels différents – et donc des valeurs, des pratiques culturelles différentes.
Soulignant encore les liens des langues à la culture, l’auteur insiste aussi sur l’importance des arts lyriques et vivants, leur lien étroit avec la langue et sa mémoire, leur pertinence pour la linguistique. La cinquième partie, qui conclut l’ouvrage, nous parle des personnes, des locuteurs : de leur présent, mais aussi de leur avenir qui est aussi celui de la Terre entière. La richesse, la diversité linguistiques sont des biens communs à l’humanité.
Leur diminution représente une perte pour chacun de nous.
La disparition des langues est une constante de l’histoire humaine, mais son rythme s’accélère : d’ici la fin du XXIe siècle, c’est la moitié des 6 000 langues de la planète que nous risquons de voir s’éteindre. Tous les quinze jours, le dernier locuteur d’une langue en voie d’extinction meurt. Or chaque langue a une histoire différente à nous raconter. Chacune est une véritable bibliothèque aux rayons chargés de grammaires, de dictionnaires, d’encyclopédies botaniques et zoologiques, de recueils de chants et de fables… Le livre s’ouvre sur des portraits, donnant d’emblée à l’ouvrage sa tonalité : très humaine et accessible, en dépit de sa grande rigueur scientifique.
Les deux premières parties définissent la diversité linguistique, rappelant l’historique de l’intérêt occidental pour les langues du monde. Dans la troisième partie, l’auteur s’intéresse à l’intérêt scientifique de la diversité linguistique. Il indique concrètement et clairement ce que les langues menacées peuvent nous apprendre : sur l’histoire des migrations, des technologies, des religions, de la pensée.
Il explique aussi, avec des mots simples, comment les linguistes s’y prennent pour arriver à leurs conclusions, comment ils croisent leurs savoirs avec d’autres scientifiques (généticiens, archéologues, etc.). La quatrième partie aborde les notions de diversités conceptuelle, culturelle et artistique. Elle montre en quoi la diversité linguistique peut engendrer des modèles intellectuels différents – et donc des valeurs, des pratiques culturelles différentes.
Soulignant encore les liens des langues à la culture, l’auteur insiste aussi sur l’importance des arts lyriques et vivants, leur lien étroit avec la langue et sa mémoire, leur pertinence pour la linguistique. La cinquième partie, qui conclut l’ouvrage, nous parle des personnes, des locuteurs : de leur présent, mais aussi de leur avenir qui est aussi celui de la Terre entière. La richesse, la diversité linguistiques sont des biens communs à l’humanité.
Leur diminution représente une perte pour chacun de nous.
Nicholas Evans
Nicholas Evans, né le 26 juillet 1950 au Royaume-Uni, se consacre à l'écriture depuis de nombreuses années. Après des études de droit et de journalisme et un séjour en Afrique au sein d'une association caritative, il rejoint en 1980 la télévision britannique, pour laquelle il rédige avec succès les scénarios de films et séries et reçoit de nombreux prix. Mais c'est un livre qui va le faire connaître du grand public : "L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux", paru en 1995 en Angleterre, l'année suivante en France et adapté en 1998 pour le cinéma par Robert Redford. Depuis sont parus : "Le cercle des loups" (1999), "Le coeœur des flammes" (2002), "La ligne de partage" (2006) et "Les blessures invisibles" en 2012. Il est décédé le 9 août 2022.
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