Ces maladies créées par l'homme. Comment la dégradation de l'environnement met en péril notre santé - Occasion
Par :- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Nombre de pages380
- PrésentationBroché
- Poids0.515 kg
- Dimensions14,5 cm × 22,5 cm × 3,0 cm
- ISBN2-226-14223-1
- EAN9782226142238
- Date de parution10/02/2004
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Depuis la seconde guerre mondiale, le nombre de décès provoqués par le cancer a doublé en France 150 000 par an ! Le tabac, premier accusé, n'en explique que 30 000. Les autres sont essentiellement liés à la dégradation de notre environnement. Le cancer est devenu une " maladie de civilisation ". Ce phénomène s'observe dans l'ensemble des pays industrialisés. " On soigne les malades atteints du cancer, constate le professeur Dominique Belpomme, président de l'Association française pour la recherche thérapeutique anti-cancéreuse (Artac), et non l'environnement qui est lui-même malade. " Des affections cardiovasculaires à la stérilité masculine en passant par le diabète, l'asthme... nombre des maux dont nous souffrons ne sont plus d'origine naturelle mais artificielle, fabriqués en quelque sorte par l'homme. A court terme, c'est la survie de l'espèce humaine qui pourrait être mise en cause.
Depuis la seconde guerre mondiale, le nombre de décès provoqués par le cancer a doublé en France 150 000 par an ! Le tabac, premier accusé, n'en explique que 30 000. Les autres sont essentiellement liés à la dégradation de notre environnement. Le cancer est devenu une " maladie de civilisation ". Ce phénomène s'observe dans l'ensemble des pays industrialisés. " On soigne les malades atteints du cancer, constate le professeur Dominique Belpomme, président de l'Association française pour la recherche thérapeutique anti-cancéreuse (Artac), et non l'environnement qui est lui-même malade. " Des affections cardiovasculaires à la stérilité masculine en passant par le diabète, l'asthme... nombre des maux dont nous souffrons ne sont plus d'origine naturelle mais artificielle, fabriqués en quelque sorte par l'homme. A court terme, c'est la survie de l'espèce humaine qui pourrait être mise en cause.