Mansoureh Kamari est née et a grandi à Téhéran, en Iran. Elle y a obtenu son diplôme en dessin industriel mais a toujours été passionnée par le cinéma d'animation. Après son arrivée en France en 2011, elle a poursuivi ses études en cinéma d'animation aux Gobelins à Paris. Depuis 2015 elle travaille pour les studios d'animation en tant que dessinatrice des personnages, en France et à l'étranger. Les lignes qui tracent mon corps est son premier album de bande dessinée.
À paraître
Ces Lignes qui tracent mon corps
Par :Formats :
Bientôt disponible
La date de sortie de cet article n'est pas encore confirmée. Selon l'éditeur, il sera bientôt disponible.
- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- Poids0.001 kg
- ISBN978-2-203-29000-6
- EAN9782203290006
- Date de parution10/09/2025
- CollectionROMANS GRAPHIQUES
- ÉditeurCasterman
Résumé
En Iran, selon la loi islamique, le père de famille est propriétaire du sang de ses enfants, il ne peut donc être poursuivi pénalement s'il s'en prend à sa progéniture. De là découle en partie la construction de la société iranienne où l'homme a les pleins pouvoirs, notamment sur les femmes, en toute impunité. Mansoureh Kamari se souvient ici de son enfance et de son adolescence sous ce joug masculin.
Elle expose des faits : les interdictions multiples (rire, chanter, danser, aimer), la possibilité d'être mariée à 9 ans, exécutée à 15, après avoir été violée... Elle raconte les agressions sexuelles répétées, dans la rue, le taxi, chez le médecin, à la fac... Et la peur constante, l'impuissance, l'incapacité à maîtriser son destin. Mais Mansoureh a fuit l'Iran, elle a réussi à sortir de cette oppression permanente, et cet album est aussi l'histoire d'une métamorphose, celle d'une femme recouvrant sa liberté.
Elle expose des faits : les interdictions multiples (rire, chanter, danser, aimer), la possibilité d'être mariée à 9 ans, exécutée à 15, après avoir été violée... Elle raconte les agressions sexuelles répétées, dans la rue, le taxi, chez le médecin, à la fac... Et la peur constante, l'impuissance, l'incapacité à maîtriser son destin. Mais Mansoureh a fuit l'Iran, elle a réussi à sortir de cette oppression permanente, et cet album est aussi l'histoire d'une métamorphose, celle d'une femme recouvrant sa liberté.
En Iran, selon la loi islamique, le père de famille est propriétaire du sang de ses enfants, il ne peut donc être poursuivi pénalement s'il s'en prend à sa progéniture. De là découle en partie la construction de la société iranienne où l'homme a les pleins pouvoirs, notamment sur les femmes, en toute impunité. Mansoureh Kamari se souvient ici de son enfance et de son adolescence sous ce joug masculin.
Elle expose des faits : les interdictions multiples (rire, chanter, danser, aimer), la possibilité d'être mariée à 9 ans, exécutée à 15, après avoir été violée... Elle raconte les agressions sexuelles répétées, dans la rue, le taxi, chez le médecin, à la fac... Et la peur constante, l'impuissance, l'incapacité à maîtriser son destin. Mais Mansoureh a fuit l'Iran, elle a réussi à sortir de cette oppression permanente, et cet album est aussi l'histoire d'une métamorphose, celle d'une femme recouvrant sa liberté.
Elle expose des faits : les interdictions multiples (rire, chanter, danser, aimer), la possibilité d'être mariée à 9 ans, exécutée à 15, après avoir été violée... Elle raconte les agressions sexuelles répétées, dans la rue, le taxi, chez le médecin, à la fac... Et la peur constante, l'impuissance, l'incapacité à maîtriser son destin. Mais Mansoureh a fuit l'Iran, elle a réussi à sortir de cette oppression permanente, et cet album est aussi l'histoire d'une métamorphose, celle d'une femme recouvrant sa liberté.