Ce que nous voulons faire de l'Union soviétique - Occasion
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- Poids0.2 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,2 cm
- ISBN2-02-013230-3
- EAN9782020132305
- Date de parution01/04/1991
- CollectionSeuil essais
- ÉditeurSeuil
Résumé
Alexandre Iakovlev, le théoricien de la perestroïka, l'un des hommes les plus estimés des radicaux, a choisi de poursuivre la lutte au Fremlin. Et après un long silence, il a décidé de parler. Pour rappeler d'abord le chemin parcouru, et les erreurs commises. Pour expliquer ensuite les raisons de l'effondrement moral, économique, politique que connaît son pays, et analyser les obstacles qui se dressent sur la voie du redressement.
Pour faire le point sur l'énorme travail de réappropriation de la mémoire historique auquel il préside, et qu'il juge essentiel pour le relèvement du pays. Pour tracer enfin la voie que doit maintenant emprunter la politique intérieure et extérieure de réformes à laquelle il ne renoncera jamais. Chacun sait que le compte à rebours a commencé. Si les magasins ne sont pas approvisionnés dans les mois qui viennent, le pire peut arriver.
Alexandre Iakovlev, la bête noire des conservateurs, a lié son sort à celui de la liberté.
Alexandre Iakovlev, le théoricien de la perestroïka, l'un des hommes les plus estimés des radicaux, a choisi de poursuivre la lutte au Fremlin. Et après un long silence, il a décidé de parler. Pour rappeler d'abord le chemin parcouru, et les erreurs commises. Pour expliquer ensuite les raisons de l'effondrement moral, économique, politique que connaît son pays, et analyser les obstacles qui se dressent sur la voie du redressement.
Pour faire le point sur l'énorme travail de réappropriation de la mémoire historique auquel il préside, et qu'il juge essentiel pour le relèvement du pays. Pour tracer enfin la voie que doit maintenant emprunter la politique intérieure et extérieure de réformes à laquelle il ne renoncera jamais. Chacun sait que le compte à rebours a commencé. Si les magasins ne sont pas approvisionnés dans les mois qui viennent, le pire peut arriver.
Alexandre Iakovlev, la bête noire des conservateurs, a lié son sort à celui de la liberté.