Catholiques, sommes-nous majeurs?. Inquiétudes et espoirs d’un laïc
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- Nombre de pages188
- PrésentationBroché
- Poids1 kg
- Dimensions22,0 cm × 14,0 cm × 0,0 cm
- ISBN3-906767-73-6
- EAN9783906767734
- Date de parution15/10/2001
- CollectionPLG.HUMANITIES
- ÉditeurP.I.E. Peter Lang SA
Résumé
En 1952, l'un des grands théologiens du XXe siècle, le futur Cardinal Hans-Urs von Balthasar, écrit : "L'avenir de l'Eglise [... ] dépend d'une question : trouvera-t-on les laïcs disposés à vivre et à façonner le monde à partir de la force inentamée de l'Evangile ? Que clergé et ordres n'y suffisent plus, n'échappe à aucun être lucide. Ce n'est pas de leur faute. C'est la "faute" du monde qui accède à sa majorité".
Quelques années plus tard a lieu le Concile Vatican II. Il redécouvre le "sacerdoce royal" (2 Pi 2, 9), non pas des laïcs - la Bible ne connaît ni le mot ni la chose - mais des croyants. Redécouverte peu utile puisque trente-cinq ans plus tard, rien ou presque n'a changé. - Pourquoi ? C'est à trouver des éléments de réponse à cette question que s'emploie l'auteur de la présente étude, laïc engagé et très attaché à sa paroisse.
Pour rabaisser encore une Eglise en perte de vitesse ? Pas du tout. Mais pour montrer que, si elle le voulait, l'Eglise pourrait mobiliser des forces considérables, celles qu'évoque Hans-Urs von Balthasar. Désigner des carences, c'est révéler des lieux - des chances ! - où la Réforme pourrait s'amorcer. L'auteur en aborde cinq : le rôle des "laïcs" , le langage et l'autorité du magistère, le pouvoir, le statut de la femme et l'oecuménisme.
En somme, est ici tenté le travail qui devrait incomber aux théologiens de métier, si l'Institution le leur permettait.
Quelques années plus tard a lieu le Concile Vatican II. Il redécouvre le "sacerdoce royal" (2 Pi 2, 9), non pas des laïcs - la Bible ne connaît ni le mot ni la chose - mais des croyants. Redécouverte peu utile puisque trente-cinq ans plus tard, rien ou presque n'a changé. - Pourquoi ? C'est à trouver des éléments de réponse à cette question que s'emploie l'auteur de la présente étude, laïc engagé et très attaché à sa paroisse.
Pour rabaisser encore une Eglise en perte de vitesse ? Pas du tout. Mais pour montrer que, si elle le voulait, l'Eglise pourrait mobiliser des forces considérables, celles qu'évoque Hans-Urs von Balthasar. Désigner des carences, c'est révéler des lieux - des chances ! - où la Réforme pourrait s'amorcer. L'auteur en aborde cinq : le rôle des "laïcs" , le langage et l'autorité du magistère, le pouvoir, le statut de la femme et l'oecuménisme.
En somme, est ici tenté le travail qui devrait incomber aux théologiens de métier, si l'Institution le leur permettait.
En 1952, l'un des grands théologiens du XXe siècle, le futur Cardinal Hans-Urs von Balthasar, écrit : "L'avenir de l'Eglise [... ] dépend d'une question : trouvera-t-on les laïcs disposés à vivre et à façonner le monde à partir de la force inentamée de l'Evangile ? Que clergé et ordres n'y suffisent plus, n'échappe à aucun être lucide. Ce n'est pas de leur faute. C'est la "faute" du monde qui accède à sa majorité".
Quelques années plus tard a lieu le Concile Vatican II. Il redécouvre le "sacerdoce royal" (2 Pi 2, 9), non pas des laïcs - la Bible ne connaît ni le mot ni la chose - mais des croyants. Redécouverte peu utile puisque trente-cinq ans plus tard, rien ou presque n'a changé. - Pourquoi ? C'est à trouver des éléments de réponse à cette question que s'emploie l'auteur de la présente étude, laïc engagé et très attaché à sa paroisse.
Pour rabaisser encore une Eglise en perte de vitesse ? Pas du tout. Mais pour montrer que, si elle le voulait, l'Eglise pourrait mobiliser des forces considérables, celles qu'évoque Hans-Urs von Balthasar. Désigner des carences, c'est révéler des lieux - des chances ! - où la Réforme pourrait s'amorcer. L'auteur en aborde cinq : le rôle des "laïcs" , le langage et l'autorité du magistère, le pouvoir, le statut de la femme et l'oecuménisme.
En somme, est ici tenté le travail qui devrait incomber aux théologiens de métier, si l'Institution le leur permettait.
Quelques années plus tard a lieu le Concile Vatican II. Il redécouvre le "sacerdoce royal" (2 Pi 2, 9), non pas des laïcs - la Bible ne connaît ni le mot ni la chose - mais des croyants. Redécouverte peu utile puisque trente-cinq ans plus tard, rien ou presque n'a changé. - Pourquoi ? C'est à trouver des éléments de réponse à cette question que s'emploie l'auteur de la présente étude, laïc engagé et très attaché à sa paroisse.
Pour rabaisser encore une Eglise en perte de vitesse ? Pas du tout. Mais pour montrer que, si elle le voulait, l'Eglise pourrait mobiliser des forces considérables, celles qu'évoque Hans-Urs von Balthasar. Désigner des carences, c'est révéler des lieux - des chances ! - où la Réforme pourrait s'amorcer. L'auteur en aborde cinq : le rôle des "laïcs" , le langage et l'autorité du magistère, le pouvoir, le statut de la femme et l'oecuménisme.
En somme, est ici tenté le travail qui devrait incomber aux théologiens de métier, si l'Institution le leur permettait.