Carnets de Kiev (1941-1943). Journal d'une bibliothécaire russe pendant l'occupation allemande
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- Nombre de pages601
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.794 kg
- Dimensions15,3 cm × 23,5 cm × 4,2 cm
- ISBN978-2-7021-6320-7
- EAN9782702163207
- Date de parution19/09/2018
- CollectionMémorial de la Shoah
- ÉditeurCoédition Calmann-Lévy/Mémorial ...
- TraducteurBoris Czerny
- PréfacierGeorges Bensoussan
Résumé
De très nombreux documents, exhumés récemment, sont venus affiner notre perception de l'occupation allemande de Kiev pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais ce vaste ensemble de cartes, relevés topographiques, lettres, photographies et pièces d'archives, s'il évoque les aspects militaires, politiques et administratifs de la présence ennemie, ne donne pas à voir la vie des habitants et de la ville entre 1941 et 1943.
Rédigé dans un style sobre et précis, le journal d'Irina Khorochounova, jeune bibliothécaire issue de la bourgeoisie russe traditionnelle, apporte un éclairage inédit sur le quotidien des citadins. Travaillant au contact des Allemands, l'auteur décrit avec force détails certains épisodes douloureux, comme la collaboration de certains nationalistes ukrainiens ou le pillage des bibliothèques par les forces d'occupation.
Touchée de près par les arrestations, elle porte un regard personnel sur les prisonniers de guerre, le marché noir, les expulsions et la terreur qu'inspirent dans toute la population les rafles pour le travail forcé en Allemagne. Et l'arbitraire qui y préside.
Rédigé dans un style sobre et précis, le journal d'Irina Khorochounova, jeune bibliothécaire issue de la bourgeoisie russe traditionnelle, apporte un éclairage inédit sur le quotidien des citadins. Travaillant au contact des Allemands, l'auteur décrit avec force détails certains épisodes douloureux, comme la collaboration de certains nationalistes ukrainiens ou le pillage des bibliothèques par les forces d'occupation.
Touchée de près par les arrestations, elle porte un regard personnel sur les prisonniers de guerre, le marché noir, les expulsions et la terreur qu'inspirent dans toute la population les rafles pour le travail forcé en Allemagne. Et l'arbitraire qui y préside.
De très nombreux documents, exhumés récemment, sont venus affiner notre perception de l'occupation allemande de Kiev pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais ce vaste ensemble de cartes, relevés topographiques, lettres, photographies et pièces d'archives, s'il évoque les aspects militaires, politiques et administratifs de la présence ennemie, ne donne pas à voir la vie des habitants et de la ville entre 1941 et 1943.
Rédigé dans un style sobre et précis, le journal d'Irina Khorochounova, jeune bibliothécaire issue de la bourgeoisie russe traditionnelle, apporte un éclairage inédit sur le quotidien des citadins. Travaillant au contact des Allemands, l'auteur décrit avec force détails certains épisodes douloureux, comme la collaboration de certains nationalistes ukrainiens ou le pillage des bibliothèques par les forces d'occupation.
Touchée de près par les arrestations, elle porte un regard personnel sur les prisonniers de guerre, le marché noir, les expulsions et la terreur qu'inspirent dans toute la population les rafles pour le travail forcé en Allemagne. Et l'arbitraire qui y préside.
Rédigé dans un style sobre et précis, le journal d'Irina Khorochounova, jeune bibliothécaire issue de la bourgeoisie russe traditionnelle, apporte un éclairage inédit sur le quotidien des citadins. Travaillant au contact des Allemands, l'auteur décrit avec force détails certains épisodes douloureux, comme la collaboration de certains nationalistes ukrainiens ou le pillage des bibliothèques par les forces d'occupation.
Touchée de près par les arrestations, elle porte un regard personnel sur les prisonniers de guerre, le marché noir, les expulsions et la terreur qu'inspirent dans toute la population les rafles pour le travail forcé en Allemagne. Et l'arbitraire qui y préside.