Caractérisation de l'activité sexuelle de la race Ouled Djellal. Conduite dans les conditions environnementales de la région de Chlef, Algérie
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- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.313 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-3-8416-3901-1
- EAN9783841639011
- Date de parution01/11/2018
- CollectionOMN.UNIV.EUROP.
- ÉditeurUniv Européenne
Résumé
Pour cette recherche, un lot de 10 béliers et 10 brebis ont été Choisis. Les mesures de la testostérone sérique, le diamètre testiculaire, les caractéristiques quantitatives du sperme et de la progestérone sérique, l'activité oestrale ont été mesurés une fois par semaine pendant une année, respectivement chez le bélier et la brebis de la race Ouled Djellal. Les résultats de ces paramètres sont rassemblés mensuellement et analysés.
La testostérone moyenne mensuelle augmente au printemps, est maximum en début d'été et faible en automne et hiver. Le diamètre testiculaire, le volume de l'éjaculat et la concentration spermatique subissent des variations parallèles à la testostéronémie. Chez la brebis Ouled Djellal, Les concentrations maximales de la progestérone sont observées durant le printemps/été . Les concentrations minimales sont enregistrées en automne/hiver.
L'activité oestrale suit les mêmes variations que la progestéronémie. En effet, La proportion des brebis en chaleur est de 80% au mois de juillet et de 40% de décembre à février. Ces résultats plaideraient en faveur de l'existence d'un rythme particulier de fonctionnement de l'hypophyse de la race locale Ouled Djellal.
La testostérone moyenne mensuelle augmente au printemps, est maximum en début d'été et faible en automne et hiver. Le diamètre testiculaire, le volume de l'éjaculat et la concentration spermatique subissent des variations parallèles à la testostéronémie. Chez la brebis Ouled Djellal, Les concentrations maximales de la progestérone sont observées durant le printemps/été . Les concentrations minimales sont enregistrées en automne/hiver.
L'activité oestrale suit les mêmes variations que la progestéronémie. En effet, La proportion des brebis en chaleur est de 80% au mois de juillet et de 40% de décembre à février. Ces résultats plaideraient en faveur de l'existence d'un rythme particulier de fonctionnement de l'hypophyse de la race locale Ouled Djellal.
Pour cette recherche, un lot de 10 béliers et 10 brebis ont été Choisis. Les mesures de la testostérone sérique, le diamètre testiculaire, les caractéristiques quantitatives du sperme et de la progestérone sérique, l'activité oestrale ont été mesurés une fois par semaine pendant une année, respectivement chez le bélier et la brebis de la race Ouled Djellal. Les résultats de ces paramètres sont rassemblés mensuellement et analysés.
La testostérone moyenne mensuelle augmente au printemps, est maximum en début d'été et faible en automne et hiver. Le diamètre testiculaire, le volume de l'éjaculat et la concentration spermatique subissent des variations parallèles à la testostéronémie. Chez la brebis Ouled Djellal, Les concentrations maximales de la progestérone sont observées durant le printemps/été . Les concentrations minimales sont enregistrées en automne/hiver.
L'activité oestrale suit les mêmes variations que la progestéronémie. En effet, La proportion des brebis en chaleur est de 80% au mois de juillet et de 40% de décembre à février. Ces résultats plaideraient en faveur de l'existence d'un rythme particulier de fonctionnement de l'hypophyse de la race locale Ouled Djellal.
La testostérone moyenne mensuelle augmente au printemps, est maximum en début d'été et faible en automne et hiver. Le diamètre testiculaire, le volume de l'éjaculat et la concentration spermatique subissent des variations parallèles à la testostéronémie. Chez la brebis Ouled Djellal, Les concentrations maximales de la progestérone sont observées durant le printemps/été . Les concentrations minimales sont enregistrées en automne/hiver.
L'activité oestrale suit les mêmes variations que la progestéronémie. En effet, La proportion des brebis en chaleur est de 80% au mois de juillet et de 40% de décembre à février. Ces résultats plaideraient en faveur de l'existence d'un rythme particulier de fonctionnement de l'hypophyse de la race locale Ouled Djellal.
