Camille Saint-Saens et l'Algérie

Par : Pierre Ickowicz, Philippe Danel
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  • Nombre de pages88
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.4 kg
  • Dimensions21,0 cm × 21,0 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-901302-14-8
  • EAN9782901302148
  • Date de parution07/07/2009
  • ÉditeurCoédition Illustria/Château-Musé...

Résumé

D'une santé fragile depuis son enfance, et sujet à la phtisie, Camille Saint-Saëns est amené à quitter à partir de l'hiver 1873 les rigueurs de l'hiver européen pour se réfugier dans des contrées plus ensoleillées. C'est la colonie algérienne qui retient son attention sur le conseil de son médecin. L'ouvrage très richement documenté est scindé en plusieurs parties : depuis son premier séjour en 1873, jusqu'à son dernier séjour marqué par son décès en 1921.
En tout 19 séjours où nous entrons dans l'univers d'une société coloniale dont les élites partagent leur temps en réunions amicales, conférences, banquets et concerts. Une partie de l'ouvrage relate les relations du compositeur avec la musique algérienne et donne la liste de ses oeuvres qui y font référence, on y lit également des poèmes écrit de sa main en relation avec l'Algérie. Sa correspondance est mise à jour, ainsi que ses souvenirs que possède le Musée-Château de Dieppe.
Enfin un petit chapitre est consacré à la musique classique algérienne et à ses instruments, avec documents d'époque.
D'une santé fragile depuis son enfance, et sujet à la phtisie, Camille Saint-Saëns est amené à quitter à partir de l'hiver 1873 les rigueurs de l'hiver européen pour se réfugier dans des contrées plus ensoleillées. C'est la colonie algérienne qui retient son attention sur le conseil de son médecin. L'ouvrage très richement documenté est scindé en plusieurs parties : depuis son premier séjour en 1873, jusqu'à son dernier séjour marqué par son décès en 1921.
En tout 19 séjours où nous entrons dans l'univers d'une société coloniale dont les élites partagent leur temps en réunions amicales, conférences, banquets et concerts. Une partie de l'ouvrage relate les relations du compositeur avec la musique algérienne et donne la liste de ses oeuvres qui y font référence, on y lit également des poèmes écrit de sa main en relation avec l'Algérie. Sa correspondance est mise à jour, ainsi que ses souvenirs que possède le Musée-Château de Dieppe.
Enfin un petit chapitre est consacré à la musique classique algérienne et à ses instruments, avec documents d'époque.