Il est des romans qui, dès la première page, vous envoûtent et vous hantent toute la journée. Il est des romans dont vous savez tout de suite que vous ne les oublierez jamais, qu’ils feront partie intégrante de votre âme, de votre corps, de votre conscience.
Ce roman est de cette trempe-là.
Il est des auteurs, des génies, qui semblent habités par les ondes profondes de la Terre, le souffle puissant du vent, la force onirique de l’océan, la chaleur reposante du feu, et qui ont le pouvoir de les transformer en mots.
Gauz est de cette trempe-là.
L’être humain a besoin d’intercesseur, de lien entre le matériel et le spirituel, le sacré. Nous l’avons entre les mains.
Il est des romans qui, dès la première page, vous envoûtent et vous hantent toute la journée. Il est des romans dont vous savez tout de suite que vous ne les oublierez jamais, qu’ils feront partie intégrante de votre âme, de votre corps, de votre conscience.
Ce roman est de cette trempe-là.
Il est des auteurs, des génies, qui semblent habités par les ondes profondes de la Terre, le souffle puissant du vent, la force onirique de l’océan, la chaleur reposante du feu, et qui ont le pouvoir de les transformer en mots.
Gauz est de cette trempe-là.
L’être humain a besoin d’intercesseur, de lien entre le matériel et le spirituel, le sacré. Nous l’avons entre les mains.