C'était mieux avant ou le syndrôme du rétroviseur

Par : Patrick Nussbaum, Grégoire Evéquoz

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  • Nombre de pages219
  • PrésentationBroché
  • Poids0.333 kg
  • Dimensions15,1 cm × 23,7 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-8289-1414-1
  • EAN9782828914141
  • Date de parution24/04/2014
  • CollectionEssai
  • ÉditeurFavre

Résumé

"C'était mieux avant", entend-on de plus en plus souvent en ce début de XXIe siècle. Alors que les conditions de vie n'ont jamais été plus favorables qu'aujourd'hui, la nostalgie fait vendre et le passé n'a jamais été aussi à la mode. Mais qu'est-ce qui se cache derrière cette vague sans précédent de nostalgie qui envahit notre quotidien, affectant des domaines aussi divers que l'éducation, l'habillement ou la politique ? Quelle peur de l'avenir traduit-elle ? " C'était mieux avant ", entend-on de plus en plus souvent en ce début de XXIe siècle.
Alors que les conditions de vie n'ont jamais été plus favorables qu'aujourd'hui, la nostalgie fait vendre et le passé n'a jamais été aussi à la mode. Les voitures, appareils ménagers et vêtements qui s'en inspirent fleurissent dans les magasins et le vintage connaît un succès fou. Le retour aux méthodes du " bon vieux temps " fait également débat en politique et dans l'éducation. Cette nostalgie sans précédent apparaît à une époque de changement, en grande partie lié à l'essor des nouvelles technologies qui ont déjà commencé à modifier notre rapport aux autres et au monde qui nous entoure.
Le " c'était mieux avant " traduit les angoisses ressenties face à la disparition d'un monde qu'on a aimé et qui laisse peu à peu la place à une société numérique qui nous fait encore peur. Patrick Nussbaum et Grégoire Evéquoz prennent du recul pour observer ce phénomène, mieux le comprendre et relativiser. Car tout n'était peut-être pas mieux avant, et tout n'est pas pire maintenant. Alors, qui peut prédire ce que nous réserve le futur ? A trop nous focaliser sur le monde déformé que reflète notre rétroviseur, nous pourrions bien manquer ce qui se passe juste devant nous.
"C'était mieux avant", entend-on de plus en plus souvent en ce début de XXIe siècle. Alors que les conditions de vie n'ont jamais été plus favorables qu'aujourd'hui, la nostalgie fait vendre et le passé n'a jamais été aussi à la mode. Mais qu'est-ce qui se cache derrière cette vague sans précédent de nostalgie qui envahit notre quotidien, affectant des domaines aussi divers que l'éducation, l'habillement ou la politique ? Quelle peur de l'avenir traduit-elle ? " C'était mieux avant ", entend-on de plus en plus souvent en ce début de XXIe siècle.
Alors que les conditions de vie n'ont jamais été plus favorables qu'aujourd'hui, la nostalgie fait vendre et le passé n'a jamais été aussi à la mode. Les voitures, appareils ménagers et vêtements qui s'en inspirent fleurissent dans les magasins et le vintage connaît un succès fou. Le retour aux méthodes du " bon vieux temps " fait également débat en politique et dans l'éducation. Cette nostalgie sans précédent apparaît à une époque de changement, en grande partie lié à l'essor des nouvelles technologies qui ont déjà commencé à modifier notre rapport aux autres et au monde qui nous entoure.
Le " c'était mieux avant " traduit les angoisses ressenties face à la disparition d'un monde qu'on a aimé et qui laisse peu à peu la place à une société numérique qui nous fait encore peur. Patrick Nussbaum et Grégoire Evéquoz prennent du recul pour observer ce phénomène, mieux le comprendre et relativiser. Car tout n'était peut-être pas mieux avant, et tout n'est pas pire maintenant. Alors, qui peut prédire ce que nous réserve le futur ? A trop nous focaliser sur le monde déformé que reflète notre rétroviseur, nous pourrions bien manquer ce qui se passe juste devant nous.