Brütt ou les jardins soupirants

Par : Friederike Mayröcker
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  • Nombre de pages335
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.42 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-930440-03-3
  • EAN9782930440033
  • Date de parution01/01/2008
  • CollectionTransfert
  • ÉditeurAtelier de l'Agneau
  • TraducteurFrançoise David-Schaumann
  • TraducteurHugo Hengl

Résumé

Friederike Mayröcker, née en 1924, vit à Vienne. Voici son troisième livre traduit en français, "d'un genre inclassable" dit-elle, interrogée au téléphone avant de mettre sous presse. Trois personnages : la narratrice, entre Blum - celui à qui elle parle - et Joseph l'absent aimé. Roman ou journal d'amour : brütt, le mot français avec une orthographe allemande, c'est le brut, brutal de la confrontation au réel, au quotidien, aux autres.
Et en contrepoint, les jardins qui soupirent : le rêve, le désir, la relation fusionnelle aux oeuvres d'art, les états seconds, la douceur qui capitule. Un texte sur le travail d'écrivain, tissé de dialogues, réels ou fictifs, de lectures, de citations, de coups de téléphone, de lettres reçues, envoyées ou non, de souvenirs, évocations de tableaux et de musiciens. Friederike Mayröcker est à sa machine, s'en arrache, s'y recolle, voulant "penser, ressentir et dire différentes choses en même temps."
Friederike Mayröcker, née en 1924, vit à Vienne. Voici son troisième livre traduit en français, "d'un genre inclassable" dit-elle, interrogée au téléphone avant de mettre sous presse. Trois personnages : la narratrice, entre Blum - celui à qui elle parle - et Joseph l'absent aimé. Roman ou journal d'amour : brütt, le mot français avec une orthographe allemande, c'est le brut, brutal de la confrontation au réel, au quotidien, aux autres.
Et en contrepoint, les jardins qui soupirent : le rêve, le désir, la relation fusionnelle aux oeuvres d'art, les états seconds, la douceur qui capitule. Un texte sur le travail d'écrivain, tissé de dialogues, réels ou fictifs, de lectures, de citations, de coups de téléphone, de lettres reçues, envoyées ou non, de souvenirs, évocations de tableaux et de musiciens. Friederike Mayröcker est à sa machine, s'en arrache, s'y recolle, voulant "penser, ressentir et dire différentes choses en même temps."