Brèves de comptoir. Tome 3, Une semaine

Par : Jean-Marie Gourio

Disponible d'occasion :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages56
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.094 kg
  • Dimensions15,1 cm × 20,5 cm × 0,6 cm
  • ISBN978-2-7427-8690-9
  • EAN9782742786909
  • Date de parution17/02/2010
  • ÉditeurActes Sud-Papiers
  • AdaptateurJean-Michel Ribes

Résumé

Une semaine de la vie d'un café, du lundi matin jusqu'au lundi suivant. Les clients entrent, parlent, boivent, rentrent, depuis l'heure du marché jusqu'à l'heure de l'école. Jours de soleil ou jours de pluie. Lendemains de boulot, jours d'anniversaire, ça va comme un lundi, vivement dimanche ! On parle et on reparle encore de ce qui fait la vie, accidents de car et prix du pain, Obama président, réchauffement climatique, globules rouges et vin rosé ! Les Brèves de comptoir, poétiques, absurdes, violentes, si douces aussi, mots des gens debout dans les cafés, blottis les uns contre les autres, pendant que la bille de la Terre tourne et que le temps passe, passe, et repasse, rouge et blanc cassis ! rosé ! impair et manque !
Une semaine de la vie d'un café, du lundi matin jusqu'au lundi suivant. Les clients entrent, parlent, boivent, rentrent, depuis l'heure du marché jusqu'à l'heure de l'école. Jours de soleil ou jours de pluie. Lendemains de boulot, jours d'anniversaire, ça va comme un lundi, vivement dimanche ! On parle et on reparle encore de ce qui fait la vie, accidents de car et prix du pain, Obama président, réchauffement climatique, globules rouges et vin rosé ! Les Brèves de comptoir, poétiques, absurdes, violentes, si douces aussi, mots des gens debout dans les cafés, blottis les uns contre les autres, pendant que la bille de la Terre tourne et que le temps passe, passe, et repasse, rouge et blanc cassis ! rosé ! impair et manque !