Brest et la Basse-Bretagne aux XIXe et XXe siècles. Une histoire mentale et sociale

Par : Yves Le Gallo
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  • Nombre de pages375
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.62 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN979-10-92331-67-7
  • EAN9791092331677
  • Date de parution14/06/2024
  • CollectionLire/relire
  • ÉditeurCRBC
  • CompilateurDaniel Le Couëdic
  • CompilateurYvon Tranvouez

Résumé

J'ai vu le jour, d'hiver, à Brest : à la réflexion, je ne vois pas où j'aurais pu naître ailleurs, disait-il au moment de prendre sa retraite. Le fait est qu'Yves Le Gallo (1920-2002) n'a cessé de se battre pour sa ville natale, dont il ne supportait pas qu'elle fût abandonnée par Paris et par Rennes à sa solitude périphérique, in finibus terrae. D'abord professeur de classes préparatoires au lycée de Kerichen, cet agrégé d'histoire eut un rôle déterminant dans la création de l'Université de Brest.
Passé à la Faculté des Lettres, il fut, de 1969 à 1987, le premier directeur du Centre de recherche bretonne et celtique (CRBC). A côté de trois grands livres - sur la Bretagne, sur Brest et sa bourgeoisie sous la Monarchie de Juillet, sur le clergé bas-breton du début du XIXe siècle - il a laissé des textes dispersés : vastes synthèses et monographies érudites, biographies exemplaires et discours de circonstance.
On en a retenu ici quelques-uns, les plus significatifs et les plus susceptibles de rappeler à la fois son centre d'intérêt (les mentalités basses-bretonnes), sa méthode (la psychologie historique) et sa manière, souvent acerbe mais toujours servie par un immense talent d'écriture.
J'ai vu le jour, d'hiver, à Brest : à la réflexion, je ne vois pas où j'aurais pu naître ailleurs, disait-il au moment de prendre sa retraite. Le fait est qu'Yves Le Gallo (1920-2002) n'a cessé de se battre pour sa ville natale, dont il ne supportait pas qu'elle fût abandonnée par Paris et par Rennes à sa solitude périphérique, in finibus terrae. D'abord professeur de classes préparatoires au lycée de Kerichen, cet agrégé d'histoire eut un rôle déterminant dans la création de l'Université de Brest.
Passé à la Faculté des Lettres, il fut, de 1969 à 1987, le premier directeur du Centre de recherche bretonne et celtique (CRBC). A côté de trois grands livres - sur la Bretagne, sur Brest et sa bourgeoisie sous la Monarchie de Juillet, sur le clergé bas-breton du début du XIXe siècle - il a laissé des textes dispersés : vastes synthèses et monographies érudites, biographies exemplaires et discours de circonstance.
On en a retenu ici quelques-uns, les plus significatifs et les plus susceptibles de rappeler à la fois son centre d'intérêt (les mentalités basses-bretonnes), sa méthode (la psychologie historique) et sa manière, souvent acerbe mais toujours servie par un immense talent d'écriture.