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Par : Toscan

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  • Nombre de pages208
  • PrésentationBroché
  • Poids0.225 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,4 cm
  • ISBN2-02-013690-2
  • EAN9782020136907
  • Date de parution01/04/1992
  • CollectionSeuil essais
  • ÉditeurSeuil

Résumé

Peut-on allier l'amour éperdu de l'art et une inépuisable soif d'entreprendre ? Peut-on mêler l'astuce, le culot, le pari, et une humilité vraie devant les créateurs ? Peut-on marier une énergie tout entière vouée à la promotion de la culture et un humour vigilant, tonique, moteur ? Daniel Toscan du Plantier, au fil de ce journal de bord, prouve non seulement que c'est possible mais qu'un producteur de cinéma ne saurait marquer l'époque sans réunir ces contraires.
Et il la marque, l'époque. Puissamment campé chez Gaumont ou artisan " sauvage " (bon sauvage, à l'évidence, le plus souriant qui soit, et le plus indifférent envers l'esprit de parti), il a amené ou ramené sous le pavillon français Bergman et Kurosawa, Satyajit Ray et Fellini. Il a décroché, avec Pialat et Depardieu, la première Palme d'or gagnée par notre pays depuis vingt trois ans. Il a prêché à temps et à contretemps, au péril d'une carrière cahotante, que le prestige était luxe un luxe raisonnable et l'innovation un placement sûr.
Son récit alerte et piquant, qui n'oublie jamais d'être drôle, est une promenade où l'on croise les plus grands au travers d'anecdotes et de portraits inattendus. C'est aussi une réflexion sur l'avenir du cinéma, sur ces relations avec la télévision. Et un plaidoyer farouche pour que, de ce côté-ci de l'Atlantique, on jour la qualité, l'audace et le rêve.
Peut-on allier l'amour éperdu de l'art et une inépuisable soif d'entreprendre ? Peut-on mêler l'astuce, le culot, le pari, et une humilité vraie devant les créateurs ? Peut-on marier une énergie tout entière vouée à la promotion de la culture et un humour vigilant, tonique, moteur ? Daniel Toscan du Plantier, au fil de ce journal de bord, prouve non seulement que c'est possible mais qu'un producteur de cinéma ne saurait marquer l'époque sans réunir ces contraires.
Et il la marque, l'époque. Puissamment campé chez Gaumont ou artisan " sauvage " (bon sauvage, à l'évidence, le plus souriant qui soit, et le plus indifférent envers l'esprit de parti), il a amené ou ramené sous le pavillon français Bergman et Kurosawa, Satyajit Ray et Fellini. Il a décroché, avec Pialat et Depardieu, la première Palme d'or gagnée par notre pays depuis vingt trois ans. Il a prêché à temps et à contretemps, au péril d'une carrière cahotante, que le prestige était luxe un luxe raisonnable et l'innovation un placement sûr.
Son récit alerte et piquant, qui n'oublie jamais d'être drôle, est une promenade où l'on croise les plus grands au travers d'anecdotes et de portraits inattendus. C'est aussi une réflexion sur l'avenir du cinéma, sur ces relations avec la télévision. Et un plaidoyer farouche pour que, de ce côté-ci de l'Atlantique, on jour la qualité, l'audace et le rêve.