Coup de coeur

Bolchoi arena Tome 1
Caelum incognito

Par : Boulet, Aseyn

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  • Nombre de pages168
  • PrésentationBroché
  • FormatAlbum
  • Poids0.624 kg
  • Dimensions19,8 cm × 25,6 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-7560-8074-1
  • EAN9782756080741
  • Date de parution19/09/2018
  • ÉditeurDelcourt

Résumé

Et si vous pouviez être qui vous voulez et partir explorer le cosmos dans un monde virtuel tellement convaincant qu'il paraît réel ? Une aventure passionnante, imaginée par Boulet et superbement mise en scène par Aseyn ! Dans un futur proche, le Bolchoi, réseau mondial de réalité virtuelle, a remplacé Internet et pris le dessus sur le monde réel. Réplique parfaite de notre univers, il a relancé l'exploration spatiale car c'est aussi un immense simulateur pour les technologies futures.
Marje, étudiante en astrophysique, va y faire ses premiers pas, guidée par son amie Dana, et découvrir les limites du Bolchoi et du réel...
Et si vous pouviez être qui vous voulez et partir explorer le cosmos dans un monde virtuel tellement convaincant qu'il paraît réel ? Une aventure passionnante, imaginée par Boulet et superbement mise en scène par Aseyn ! Dans un futur proche, le Bolchoi, réseau mondial de réalité virtuelle, a remplacé Internet et pris le dessus sur le monde réel. Réplique parfaite de notre univers, il a relancé l'exploration spatiale car c'est aussi un immense simulateur pour les technologies futures.
Marje, étudiante en astrophysique, va y faire ses premiers pas, guidée par son amie Dana, et découvrir les limites du Bolchoi et du réel...

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
Morgan CDecitre Ecully
5/5
Enter The Bolchoi
S'il y a bien un thème phare dans la science fiction, qu'elle soit littéraire ou filmique c'est bien celui des mondes virtuels, ces réflexions distordues de notre univers ayant des règles qui leur sont propres. En miroir de nos erreurs, le monde virtuel est aussi et surtout l'échappatoire idéal à toutes les crises à venir, et la meilleure manière de briser toutes les règles de notre monde pour en créer de nouvelles. Et c'est ce que propose Boulet et Aseyn, avec leur bande dessinée : Bolchoi Arena ! Si vous trouviez que le paysage de la bande dessinée français manquait d'une saga de hard-SF, la voici donc devant vos yeux. On y retrouve Marje, une jeune étudiante en astro-physique qui découvre pour la première fois ce qu'est le Bolchoi, une sorte de monde virtuel aux règles strictes mais au potentiel infini : explorer les confins de notre système, expérimenter le voyage stellaire, la vie sur d'autres planètes... Mais aussi et surtout se faire de l'argent en capitalisant sur des mines, en tuant d'autres joueurs, en collaborant avec des corporations... Vous l'aurez compris, le Bolchoi porte bien son nom (Bolchoi signifie grand en russe) puisque les possibilités d'un tel monde sont incalculables... et que les entreprises privés en ont très vite compris le potentiel mercantile. Pourtant, même si le Bolchoi est réputé pour sa sûreté et son taux de risque 0, la jeune Marje n'est pas à l'abri de vivre une expérience qui pourrait bien tout remettre en question... Forte de trois volumes (et d'un quatrième en préparation), cette saga permet donc de s'immerger dans ce Bolchoi, dont l'utilité dépasse le simple lieu d'évasion et de détente pour gamers : ce sont de véritables missions scientifiques et expérimentations qui sont menées dans le Bolchoi avec pour objectif affiché de refléter les aspirations futures de l'humanité, en attendant d'avoir réellement les moyens technologiques pour mener de telles opérations. Mais entre réalité et virtuel, la frontière est mince, et à trop vouloir se reposer sur un monde sans corps physique, on chute d'autant plus facilement quand vient le dur retour au monde. Marje subit d'ailleurs (au début de l'œuvre) une déconnexion progressive de la réalité, qui n'est finalement pas sans rappeler les sonnettes d'alarmes tirées par déjà bon nombre d'œuvres concernant les risques d'une réalité virtuelle qui supplanterait le réel lui-même. Quant à la privatisation de ses secteurs spatiaux par des multinationales que l'on voit dans l'œuvre, n'est ce pas un miroir de notre situation actuelle concernant l'exploitation des ressources d'autres planètes, et dont la ratification d'accords pour réglementer ce statut laisse pensif quant au futur de la colonisation spatiale ? Bien sûr, l'œuvre sait aussi s'apprécier d'un point de vue autre que scénaristique, puisque Boulet est accompagné du dessinateur Aseyn. La technicité de son trait dépasse d'ailleurs toutes les attentes, tant l'on a l'impression d'avoir devant soi le successeur français de Katsuhiro Otomo (le mangaka derrière Akira), avec ses doubles pages sublimes révélant des structures spatiales titanesques ainsi que des environnements qui laisse rêveur. On apprécie les balades sur d'autres planètes, on s'émeut de la situation de Marje, et on contemple aussi, impuissant, un monde qui brûle. Bolchoi Arena s'affiche donc comme l'une des bande dessinée de SF à ne surtout pas manquer, et dont l'attente pour le quatrième volume vous laissera sûrement, comme moi, sur les rotules.
S'il y a bien un thème phare dans la science fiction, qu'elle soit littéraire ou filmique c'est bien celui des mondes virtuels, ces réflexions distordues de notre univers ayant des règles qui leur sont propres. En miroir de nos erreurs, le monde virtuel est aussi et surtout l'échappatoire idéal à toutes les crises à venir, et la meilleure manière de briser toutes les règles de notre monde pour en créer de nouvelles. Et c'est ce que propose Boulet et Aseyn, avec leur bande dessinée : Bolchoi Arena ! Si vous trouviez que le paysage de la bande dessinée français manquait d'une saga de hard-SF, la voici donc devant vos yeux. On y retrouve Marje, une jeune étudiante en astro-physique qui découvre pour la première fois ce qu'est le Bolchoi, une sorte de monde virtuel aux règles strictes mais au potentiel infini : explorer les confins de notre système, expérimenter le voyage stellaire, la vie sur d'autres planètes... Mais aussi et surtout se faire de l'argent en capitalisant sur des mines, en tuant d'autres joueurs, en collaborant avec des corporations... Vous l'aurez compris, le Bolchoi porte bien son nom (Bolchoi signifie grand en russe) puisque les possibilités d'un tel monde sont incalculables... et que les entreprises privés en ont très vite compris le potentiel mercantile. Pourtant, même si le Bolchoi est réputé pour sa sûreté et son taux de risque 0, la jeune Marje n'est pas à l'abri de vivre une expérience qui pourrait bien tout remettre en question... Forte de trois volumes (et d'un quatrième en préparation), cette saga permet donc de s'immerger dans ce Bolchoi, dont l'utilité dépasse le simple lieu d'évasion et de détente pour gamers : ce sont de véritables missions scientifiques et expérimentations qui sont menées dans le Bolchoi avec pour objectif affiché de refléter les aspirations futures de l'humanité, en attendant d'avoir réellement les moyens technologiques pour mener de telles opérations. Mais entre réalité et virtuel, la frontière est mince, et à trop vouloir se reposer sur un monde sans corps physique, on chute d'autant plus facilement quand vient le dur retour au monde. Marje subit d'ailleurs (au début de l'œuvre) une déconnexion progressive de la réalité, qui n'est finalement pas sans rappeler les sonnettes d'alarmes tirées par déjà bon nombre d'œuvres concernant les risques d'une réalité virtuelle qui supplanterait le réel lui-même. Quant à la privatisation de ses secteurs spatiaux par des multinationales que l'on voit dans l'œuvre, n'est ce pas un miroir de notre situation actuelle concernant l'exploitation des ressources d'autres planètes, et dont la ratification d'accords pour réglementer ce statut laisse pensif quant au futur de la colonisation spatiale ? Bien sûr, l'œuvre sait aussi s'apprécier d'un point de vue autre que scénaristique, puisque Boulet est accompagné du dessinateur Aseyn. La technicité de son trait dépasse d'ailleurs toutes les attentes, tant l'on a l'impression d'avoir devant soi le successeur français de Katsuhiro Otomo (le mangaka derrière Akira), avec ses doubles pages sublimes révélant des structures spatiales titanesques ainsi que des environnements qui laisse rêveur. On apprécie les balades sur d'autres planètes, on s'émeut de la situation de Marje, et on contemple aussi, impuissant, un monde qui brûle. Bolchoi Arena s'affiche donc comme l'une des bande dessinée de SF à ne surtout pas manquer, et dont l'attente pour le quatrième volume vous laissera sûrement, comme moi, sur les rotules.
Lilian G.Decitre Annemasse
5/5
Entrez dans l'arène!
A partir du même point de départ que Ready Player One a savoir un monde virtuel aux possibilités infinies, Boulet et Aseyn proposent un divertissement de haute qualité tant sur le plan du scénario que du dessin un peu « rétro mangas ». Une belle série en devenir.
A partir du même point de départ que Ready Player One a savoir un monde virtuel aux possibilités infinies, Boulet et Aseyn proposent un divertissement de haute qualité tant sur le plan du scénario que du dessin un peu « rétro mangas ». Une belle série en devenir.
  • realité virtuelle
  • Boulet
David - 1Decitre Levallois-Perret
5/5
Voilà un titre qu'on aura attendu !
Et ça en valait la peine... Boulet (Raghnarok, Notes, la Page blanche...), ici au scénario, récidive sur les sujets qui lui sont chers ; à savoir l'espace, la science, et les questions un peu existentielles qui viennent avec. Marje, étudiante, fait ses premiers pas dans le Bolchoi – et le lecteur avec – et dès les premières pages, l'ambiance est posée. Point de grand méchant, point d'univers à sauver : le Bolchoi est aussi bien un jeu vidéo qu'un simulateur scientifique. Et finalement, c'est assez reposant... Si le réalisme se veut le maître mot cependant, attendez-vous à quelques petits gimmicks, souvent indissociables des thèmes de SF et de réalité virtuelle. Des préoccupations de personnages qui se détournent de plus en plus du réel, des éléments technologiques un peu improbables : rien de bien méchant, mais un peu de grain à moudre pour les plus pointilleux des lecteurs. Graphiquement, c'est une grosse claque. S'inspirant de l'univers manga des années 80-90, principalement d'Akira, Aseyn rend une copie parfaitement propre, claire et vivante. Le tout donne un look un peu rétro, vraisemblablement pensé comme cela, qui vient se superposer parfaitement à l'ambiance posée et réfléchie de l'écriture. Pour les amateurs de SF, de réalité virtuelle, et de grosses bastons dans l'espace, c'est tout bon.
Et ça en valait la peine... Boulet (Raghnarok, Notes, la Page blanche...), ici au scénario, récidive sur les sujets qui lui sont chers ; à savoir l'espace, la science, et les questions un peu existentielles qui viennent avec. Marje, étudiante, fait ses premiers pas dans le Bolchoi – et le lecteur avec – et dès les premières pages, l'ambiance est posée. Point de grand méchant, point d'univers à sauver : le Bolchoi est aussi bien un jeu vidéo qu'un simulateur scientifique. Et finalement, c'est assez reposant... Si le réalisme se veut le maître mot cependant, attendez-vous à quelques petits gimmicks, souvent indissociables des thèmes de SF et de réalité virtuelle. Des préoccupations de personnages qui se détournent de plus en plus du réel, des éléments technologiques un peu improbables : rien de bien méchant, mais un peu de grain à moudre pour les plus pointilleux des lecteurs. Graphiquement, c'est une grosse claque. S'inspirant de l'univers manga des années 80-90, principalement d'Akira, Aseyn rend une copie parfaitement propre, claire et vivante. Le tout donne un look un peu rétro, vraisemblablement pensé comme cela, qui vient se superposer parfaitement à l'ambiance posée et réfléchie de l'écriture. Pour les amateurs de SF, de réalité virtuelle, et de grosses bastons dans l'espace, c'est tout bon.
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