Historien. Producteur-présentateur d'émissions de télévision. Ministre de la Francophonie (1988-1991). Membre de l'Institut, Académie française (élu en 1979).
Blanqui L'Insurge
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages470
- PrésentationBroché
- Poids0.51 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 3,5 cm
- ISBN2-262-01166-4
- EAN9782262011666
- Date de parution01/01/1997
- ÉditeurPerrin
Résumé
Sur soixante-seize ans de vie, Auguste Blanqui en a passé trente-trois en prison. " L'homme qui s'est montré capable d'un si grand sacrifice, écrit Alain Decaux, avait à coup sûr de bien puissantes motivations. " Qui en douterait ? Cette vie est un roman. Blanqui se jette dans toutes les révolutions du XIXème siècle, sans omettre les émeutes dont, avec une audace qui laisse pantois, il est lui-même l'instigateur. Il prend le temps de vivre un grand amour mais ne cesse jamais de conspirer. Il ne combat pas seulement pour la République mais pour " sa " République, plus juste, plus humaine.
Il est condamné à mort, gracié in extremis. On s'effare à dresser la liste de ses prisons. Il s'évade de celle de Belle-Ile et l'épisode ressemble au chapitre d'un livre de cape et d'épée. A peine retrouve-t-il la liberté qu'un nouveau complot la lui fait perdre. Même entre les murs d'une cellule, il fait face, son influence grandit, le nombre de ses disciples s'accroît : sait-on que Clémenceau fut de ceux-ci ?
Pour trop de gens, Blanqui n'est qu'un nom sans visage. Alain Decaux nous fait découvrir l'un des personnages les plus fascinants du XIXème siècle.
Sur soixante-seize ans de vie, Auguste Blanqui en a passé trente-trois en prison. " L'homme qui s'est montré capable d'un si grand sacrifice, écrit Alain Decaux, avait à coup sûr de bien puissantes motivations. " Qui en douterait ? Cette vie est un roman. Blanqui se jette dans toutes les révolutions du XIXème siècle, sans omettre les émeutes dont, avec une audace qui laisse pantois, il est lui-même l'instigateur. Il prend le temps de vivre un grand amour mais ne cesse jamais de conspirer. Il ne combat pas seulement pour la République mais pour " sa " République, plus juste, plus humaine.
Il est condamné à mort, gracié in extremis. On s'effare à dresser la liste de ses prisons. Il s'évade de celle de Belle-Ile et l'épisode ressemble au chapitre d'un livre de cape et d'épée. A peine retrouve-t-il la liberté qu'un nouveau complot la lui fait perdre. Même entre les murs d'une cellule, il fait face, son influence grandit, le nombre de ses disciples s'accroît : sait-on que Clémenceau fut de ceux-ci ?
Pour trop de gens, Blanqui n'est qu'un nom sans visage. Alain Decaux nous fait découvrir l'un des personnages les plus fascinants du XIXème siècle.