Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
A Beyrouth, le 13 avril 1975, un bus transportant des Palestiniens est pris pour cible par des hommes armés marquant ainsi le début de la guerre du...
Lire la suite
A Beyrouth, le 13 avril 1975, un bus transportant des Palestiniens est pris pour cible par des hommes armés marquant ainsi le début de la guerre du Liban... A la manière d'un Javier Cercas ou d'un Patrick Radden Keefe, le journaliste Marwan Chahine, s'est lancé dans une spectaculaire enquête, la première du genre, sur cet événement inaugural Si l'événement est connu de tous, personne ne sait ce qui s'est réellement passé ce jour-là. Etait-ce une opération planifiée ? Un acte de représailles ? Un incident fortuit ? Les rumeurs sont nombreuses, les légendes tenaces. De retour dans le pays de son père, le journaliste Marwan Chahine se met à enquêter sur cette affaire aussi taboue que sulfureuse. Malgré la culture du silence et l'amnésie générale, il va retrouver, un à un, les protagonistes du drame et parvenir à rassembler les innombrables pièces de ce puzzle tragique où la réalité dépasse bien souvent la fiction. A la croisée du récit journalistique, de l'essai historique et du thriller, Beyrouth, 13 avril 1975 est aussi une quête personnelle et le portrait poignant d'un pays hanté par les fantômes. Avec en toile de fond cette question plus que jamais d'actualité : comment raconter nos histoires ?
Marwan Chahine est né en France pendant la guerre du Liban. C'est à travers les informations télévisées qu'il a découvert son pays d'origine. Devenu lui-même journaliste, il s'y installe en 2015 après avoir été correspondant au Caire pour le quotidien Libération. Joyeusement désorienté, il vit aujourd'hui entre Marseille et Beyrouth et travaille comme enseignant et scénariste.