Bertrand de Broc. Marin-coureur au large
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- Nombre de pages254
- PrésentationBroché
- Poids0.395 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,5 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-8289-0980-2
- EAN9782828909802
- Date de parution15/11/2007
- ÉditeurFavre
Résumé
Ce livre rapporte vingt-cinq années d'aventure, sur tous les océans, dans toutes les grandes courses. Il ne s'agit pas d'une biographie dans la tradition, plutôt une suite de petits récits, de ceux qui se murmurent durant les quarts de nuit. Depuis les années 1980, la course au large est devenue un sport de son époque, professionnalisé, médiatisé, publicitaire. Tout serait simple sans deux solides aléas : la mer, et surtout les marins. Bertrand de Broc fait partie de ces marins-coureurs toujours au bord du cadre. Dès sa première participation à la course du Figaro, Bertrand à dix-huit ans se trouve confronté à la tempête du Fastnet, l'une des plus dévastatrices de notre époque. Plus tard, dans une des très mauvaises vagues du Vendée Globe, une écoute de grand-voile lui cingle le visage. Il devra suturer seul sa langue déchirée au fin fond des quarantièmes. Quelques années plus tard, un hélicoptère sorti du néant parvient à le treuiller au beau milieu du golfe de Gascogne. Il naufrage dans l'indifférence, à quelques heures de l'arrivée aux Sables d'Olonne, alors qu'il achevait un tour du monde en solitaire. Pour recueillir ces souvenirs, il fallait aller chercher les confidences là où elles se trouvent, sur ces bateaux, au large, dans le vent. C'est pourquoi deux voix se mêlent. Celle de Bertrand de Broc se remémore et raconte. L'autre écoute, observe, ironise parfois, celle de Christian Béron, photographe et ami.
Ce livre rapporte vingt-cinq années d'aventure, sur tous les océans, dans toutes les grandes courses. Il ne s'agit pas d'une biographie dans la tradition, plutôt une suite de petits récits, de ceux qui se murmurent durant les quarts de nuit. Depuis les années 1980, la course au large est devenue un sport de son époque, professionnalisé, médiatisé, publicitaire. Tout serait simple sans deux solides aléas : la mer, et surtout les marins. Bertrand de Broc fait partie de ces marins-coureurs toujours au bord du cadre. Dès sa première participation à la course du Figaro, Bertrand à dix-huit ans se trouve confronté à la tempête du Fastnet, l'une des plus dévastatrices de notre époque. Plus tard, dans une des très mauvaises vagues du Vendée Globe, une écoute de grand-voile lui cingle le visage. Il devra suturer seul sa langue déchirée au fin fond des quarantièmes. Quelques années plus tard, un hélicoptère sorti du néant parvient à le treuiller au beau milieu du golfe de Gascogne. Il naufrage dans l'indifférence, à quelques heures de l'arrivée aux Sables d'Olonne, alors qu'il achevait un tour du monde en solitaire. Pour recueillir ces souvenirs, il fallait aller chercher les confidences là où elles se trouvent, sur ces bateaux, au large, dans le vent. C'est pourquoi deux voix se mêlent. Celle de Bertrand de Broc se remémore et raconte. L'autre écoute, observe, ironise parfois, celle de Christian Béron, photographe et ami.