Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
En juillet 2002, les meilleurs spécialistes mondiaux de Bède le Vénérable (c. 670-735) se sont retrouvés à Lille et à Amiens pour dresser un bilan...
Lire la suite
En juillet 2002, les meilleurs spécialistes mondiaux de Bède le Vénérable (c. 670-735) se sont retrouvés à Lille et à Amiens pour dresser un bilan des études relatives à l'œuvre et à la postérité du grand écolâtre anglo-saxon, et pour ouvrir sur elles de nouvelles perspectives de recherches. Venus de Grande-Bretagne, d'Irlande, du Canada, des États-Unis, du Japon, d'Italie, d'Allemagne, de Belgique et de France, ils ont passé trois jours à exposer leurs travaux, à écouter, à échanger, dans une atmosphère à la fois studieuse et confraternelle. Les organisateurs du colloque sont heureux de publier aujourd'hui les principaux résultats de ces fructueuses journées. Presque toutes les communications qui y ont été faites sont ici réunies, augmentées de quelques contributions originales que leurs auteurs n'avaient pu présenter en juillet 2002. Les unes et les autres ont été regroupées sous cinq titres dans lesquels on retrouvera, à quelques nuances près, le découpage initial du projet : 1) Bède et ses sources ; 2) Bède l'exégète ; 3) Un historien en son milieu ; 4) La postérité de Bède ; 5) Les traductions de Bède. De cette harmonieuse polyphonie se dégage l'image d'un érudit qui, bien loin de se limiter à celle de l'ascète coupé du monde,
rigoureux, voire rigoriste, qui a longtemps été mise en avant, montre un homme engagé, souvent indulgent à l'égard de mouvements ou de tendances ecclésiales peu orthodoxes, et toujours soucieux de réformer l'Église et la société de l'Angleterre de son
temps. Pour y parvenir, il est allé puiser ses arguments dans des traditions testamentaires, patristiques et historiographiques dans lesquelles il a opéré un choix souvent original, et qui expliquent
aussi bien le caractère unique que la portée universelle de son œuvre.