Bataille de l'Escault et de la Sensée Mai 1940
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- Nombre de pages183
- PrésentationBroché
- Poids0.465 kg
- Dimensions16,0 cm × 22,0 cm × 1,4 cm
- ISBN2-912961-19-X
- EAN9782912961198
- Date de parution01/01/2002
- ÉditeurNord Patrimoine
Résumé
L'armée française de 1939-1940 fut-elle surclassée par la Wehrmacht ? La réponse doit être nuancée selon qu'on aborde le choix stratégique de notre Etat-major, l'utilisation de nos moyens matériels et l'entraînement de nos divisions ou la capacité de résistance et la combativité de nos soldats. La bataille de l'Escaut et de la Sensée, qui devait couvrir une contre-attaque privée des renforts indispensables à la réédition d'une " victoire de la Marne ", s'est transformée en bataille de positions, la dernière structurée avant le repli tragique vers Dunkerque. Le récit, à la lumière de documents militaires français et des archives de l'armée allemande, de cette semaine de confrontation (20 au 20 mai 1940) réfute les qualificatifs injustes répandus à l'endroit de nos troupes après l'armistice de juin 1940 et témoigne de leur abnégation. A ce titre, leur sacrifice méritait de s'inscrire au patrimoine civique de notre région.
L'armée française de 1939-1940 fut-elle surclassée par la Wehrmacht ? La réponse doit être nuancée selon qu'on aborde le choix stratégique de notre Etat-major, l'utilisation de nos moyens matériels et l'entraînement de nos divisions ou la capacité de résistance et la combativité de nos soldats. La bataille de l'Escaut et de la Sensée, qui devait couvrir une contre-attaque privée des renforts indispensables à la réédition d'une " victoire de la Marne ", s'est transformée en bataille de positions, la dernière structurée avant le repli tragique vers Dunkerque. Le récit, à la lumière de documents militaires français et des archives de l'armée allemande, de cette semaine de confrontation (20 au 20 mai 1940) réfute les qualificatifs injustes répandus à l'endroit de nos troupes après l'armistice de juin 1940 et témoigne de leur abnégation. A ce titre, leur sacrifice méritait de s'inscrire au patrimoine civique de notre région.